Was
ist Türke:
Was
ist ein Türke? Wer ist der Türke?
Was
ist ein Türke? Wer ist der
Türke? Wer heißt
Türkisch? Was ist ein
Deutscher? Was ist deutsch (celle-ci, herderienne)…
Autant des questions (sur un “quoi” et sur “qui”) dont la reponse se diverge et
se diversifie… Non reponse est-elle encore une reponse différée indéfiniment,
léguée à l’historicité, à l’avenance de l’histoire dont même le concept est différent et se
diversifie, et selon le temps… Un “quoi” s’échangeant avec un “qui” et vice versa.
On ne sait pas
pour quelle raison explicite d’ailleurs pourquoi “der Blau Reitter”, peintures
fulgurantes de Kandinsky, sans raison apparente nous a tant intrigué, et entré meme
par les portes sacrées du parc royal, Gülhane (dont on sait le testament à
Nazim Hikmet duquel est banni) au devant du Palais de Topkapi, règnant sur les
terres et mers, entre autres, heilige Anatolia, et Arménie qu’il ne faut pas
assimiler aux grecs, étant habitants de Byzance, ainsi que rebel kurdes, et tributs
turkmens des temps avant la nouvelle régence Ottoman. La fulgurance est un mot clé à côté
de sainteté, dont la figure à la fois pale et ludique de Père Noël,
Saint-Nicolas, tant chéri par la race germanique, demeure et repose en paix
dans ces terres, incurables Auto Fa De imaginées…
Qu’ils reposent aussi en paix les
autres justes dans leurs faussées respectives et respectueuses sans monuments
sans monumentalisé, morts en paix, reposent en paix, d’une mort fulgurante…
Ceci et autres pensées mélancoliques venant épouser d’un soir frais hivernal…
“Der Tod ist… /Der Got ist…” renvoie
à Paul Celan dont porte le titre mon autre film (« Der Tod ist… ») ;
la mort peut venir en fulgurance, de partout donc…
Poème lu automatiquement, inspiré de
l’ami Paul-André Ballanfat, polyglôtte…
Database/Ran le 1 février 2020
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