ARS EROTİCA
DANS LES ARTS
D’ECOUTE MODERNE
Una Musica
pollado Leibnitz
Intuitivement
pacifié par l'expérience d'écoute musicale qui donne une perception élargie
d'espace-temps, l'auditeur se dénude de sa matérialité et vit en quelque sorte
l'expérience d'une existence non-matérielle par la succession temporelle des
formes entrelacées l'une dans l'autre
Intuitivement
pacifié devant l’inquiétude de mort, l'expérience d'écoute musicale donnant une perception
élargie d'espace-temps, l'auditeur se dénude de sa matérialité et vit en
quelque sorte l'expérience d'une existence immatérielle par la succession temporelle
des formes entrelacées encore et encore les unes dans les autres, et vice versa.
Intuitivement
alerté devant l’inquiétude de mort, par l'expérience double, parfois triple
d'écoute musicale donnant à la fois une perception beaucoup plus élargie
d'espace-temps et un sentiment d’immortalité presqu’immorale où l'auditeur se
dénude d’un part de sa matérialité sociale
et d’autre
part vit en quelque sorte l'expérience d'une extrême déchirement dans
l’impossibilité d’une synthèse
immatérielle, par manque de ressources propres de sa propre source
naturelle, empruntant aux plus forts moment de pompes funèbres pompeuse, alors
qu’il est mortel et limité dans le temps, celle de la succession temporelle des
formes, entrelacées de plus en plus les unes dans les autres,
impossibilité
due à la quantité des punctums subits comme une mort subite, dépassant un
magnum subjectif, démolissant toute perception à force d’être perçu profondément
dans son intimité la plus secrète, alors qu’ils se sont appréhendés les uns après l’autre séparément
sans trop de problème,
dans l’ensemble comme magnum dans une disparité
affligeante, sans une synthèse active de sa part, alors le sujet vaqué à soi-même,
dans ses capacités réceptives intellectuelles doté d’une lueur naturelle les
plus subjectivement les siennes, et certes inaliénables,
le sujet
auditeur se voit alors se désagréger, se désolidariser, sombrer par ses organes
sensorielles, qui les quittant les unes après les autres, lui, il vit en
quelque sorte l’expérience d’une mort profondément personnelle mais en
publique, en auditorium, un sentiment près d’orgasmes orgiaques des Bains
Publiques de l’ancienne Rome dont l’image affadie hantent encore les artistes
hypersensibles modernes, surtout dans les arts d’écoutes dociles et parfois
violant même la liberté,
et rôti de s’empresser
dans ses heures mélancoliques, âge passant des plus mures aux murmures
vieillissant, où ils se sentirent et furent profondément seuls face à cette
mort galopant à cheval qui remonte brusquement sa tête, même au milieu d’un festin, en vérité
succulent et d’un gout exquis, mais en faisant disparaitre toute envie de vie,
de s’enchainer dans le traintrain de la vie, parsemée parcimonieusement en
cadence, en persévérance panthéiste et en révérences aristocratiques déistes des
orgies et des duelles sans fins, et des Polska mondains le plus obscènes des scènes
à couper le souffle…
Et comme les
philosophes d’aujourd’hui l’affirment avec certitude ces mots si riches
maintenant de sens et de profondeur coordonnée qu’il faut lire sans un rictus,
serieusement.
« Les simples
fécondent le monde (fecunda singula mundi),
oui mais dans une portion parfois/ toujours pas suffisante et inégalitaire, car
il y a des composés, des différentes quantités de « portions », et qui sont
harmonieuses qualitativement entre elles ou pas (aussi/ non plus), la question
qui tient à Dieu sive ontologie générale, c’est celui qui tient ensemble ou pas
(in-compossibilité) par ordre de déroulement sur scènes temporelles et
historiques, développement progressif et enveloppement toujours plus intensif
et compliquant les choses, en les plissant les uns sur les autres, comme dans
les ruines inanimées, géologiques ou tissus vivants, biologiques…
Et même
sculptures humaines architecturalement ordonnées les unes aux autres dans des
festins de gouts anciens…
Coutures et
sutures du monde devient soudain visibles ; il y a partout des limites qui le
traversent partes extra partes, les
diverses portions selon les divers « points de vues », « perspectives » se
multiplient comme une musique à des cadences variables et pourtant répétitives
de « toujours la même chanson » : découverte de l’immanence more geometrico.
Quel ordre,
et quelle belle affirmation musicale et architecturale du monde…
Pas de mal au
monde au sens radical, chantons buvons dansons échangeons accumulons
(enveloppons) dépensons (développons) multiplions-nous en harmonie et en
cadence, pom pom pom pom… »
Hiç yorum yok:
Yorum Gönder