Aporie de Qui et de Quoi

APORIA DE QUI ET DE QUOI

(QUOD ET QUID IN DEUS)

Cette video semble à un Compte Rendu de mes précédentes, surtout une reflexion sur mes possibles "erratum" et mes "métaphores" (s'il y'en a, car je les évite) et des métonymies, déplacements, médiations, séries virtuelles, formalisations (qui risquent d’être imiter forcément) dont j'use à volontieret j’espères bien en toute générosité impossible et inconditionnelle, nécessité de réserve ou de différer de différance, non pas hélas seulement pour des raisons ou limites ontologiques, alors que le philosophe doit demeurer toujours –non pas dans mais- en “bonne foi” sincère et sans limite (c.-à.d. en différance).

 Ceci n'est pas encore/ de nouveau un "Comment j'ai fait certains de mes filmes" (à Héléna) à la manière d'un Raymond Roussel à qui Michel Foucault avait réservé une ample étude, car je m'expliques dans l'inextricable à la manière d'une Dénégation (négation de la négation) freudienne, mais aussi en si lucide clairevoyance que c'est possible, et en me renvoyant justement à ce "récit fictif du 1680, de Turenne", (rédigé ou produit malheureusement officieusement à la manière d’un “document” historique inespéré et finalement trouvé pour remédier à un “Mal d’Archive” moderne, comme une plaie saignant de la véracité qui va nous sécourir) adressé aux seigneurs du temps, par l’analogie à laquelle j’expliques pourquoi un philosophe (à la manière aristotélicienne qui l'évaluerait à partir de sa “fin” –réelle ou idéelle, entéléchie- de la vie) doit rester aporétique; surtout après avoir été analytique jusqu'au dernier “flacon de neige” (structures cristallines de pensée) qui reste pour s'émerveiller encore qu'on est en vie...

Merci de vous consulter à mes références "inter-filmiques" qui sont particulièrement voulues et abondantes dans cette video que j'espères ne pas être un A-Dieu, ni odieux!...

(Tangentes d’une vie théoréthique –bios théoretikos, vie théorétique et éthique-  dans l’auto et hétéro référentialité d’une auto-hétéro-affection (“faut aimer Dieu de la manière qu’Il vous aime” de Kierkegaard, à savoir d’une manière inventive, sans savoir ou en l’ignorant); Exhortations en forme d’exemple;

 tangente voulant dire comme chez Leibniz, une courbure qui s’approche au maximum à un cercle qui ne se coupent que dans l’infini, c.a.d. jamais: la forme d’aimer Dieu, comme autrui comme autrui, ou bien celle d’aimer autrui comme Dieu qu’on ne peut chosifier et Personne, Niemand n’en témoigne que comme témoin -Celan)

 

COMMUNAUTE DES VISIONNAIRES

Fictions autobiographiques,

l'histoire du présent et

analyses phénoménologiques de la vie quotidienne

 

Database/Ran le 14 Fèvrier 2020