1.02.2020

Question de Portion chez Leibniz- I


Question de Portion chez Leibniz

1-02-2020

« nous ne connaissons qu’une portion du monde »

et de ce que nous ne connaissons pas encore, nous n’en pouvons connaitre que par ce qui est compatible avec lui, soit par l’ordre de connaitre soit par l’ordre des choses à connaitre, et donc une autre portion du même ensemble qui doit être forcément compatible entre elles et avec le reste, c’est-à-dire la totalité de ce que nous pouvons connaitre même sans quelques faveurs divins, à commencer par son existence qui nous soutient partout partes extra partes.

Car Dieu doit être forcément compatible avec le monde et le monde absolument avec Dieu, c’est ainsi que nous procèderons dans la recherche de l’harmonie universelle et préétablie, c’est-à-dire la vérité.

 

(Dé-limitations d’une Ontologie Sans Limite

autre que sa propre limite, qui ne consiste qu’à n’en avoir pas d’autre limite que d’être compatible avec le reste :

L’Ontologie de la Démocratie Cosmologique)

Grenze, lignes, frontières, limites intrinsèques

Invention du Plan d’Immanence

22 -12-2019

Cher Hakan,

şimdilik tabloların azını anladım

heyecan verici Babil-Hint kısmı

daha da baştan başlamak isterim




 


nokta    point              çizgi      ligne
         şekil (yüzey, surface)
Stade du miroir: moment de découvrir le principe d'identité animale:
"moi n'est pas identique à l'autre" par voie négatrice, avant de devenir le point more geometrico dépourvu du contenu sensible
                  Aristo Fizika’da


Hegel Ansiklopedi’de

zamanı öyle anlatırlar…

bkz. J. Derrida "Ousia et Grammè" in Marges & Heid. Varlık ve Zaman. Son bölüm

(tez bitince okursun)

Retournons à Leibniz

“portion” (kesit, détaille) connue, sue

Et le reste: demonté more geometrico, sub specie eternam

est-il égale vraiment à la volonté divine?

Un Dieu créateur ou morale n’est pas alors nécessaire = Deus sive Natura

Sinon une Naissance (prématurée) d’un dieu seulement morale (non ontologique, car il en est en chômage dans cette perspective) de Kant ? Voyons :

 

Dieu est tenu (responsable) seulement par l'in-compossibilité = une nouvelle (formulation en maxime ontologique) loi de Principe d’Identité (au départ logique ou mathématico-géométrique) (Non-Contradiction d’abord logique) de la vérité jugée épistémologiquement par le Principe de Suffisance

Qui trouve suffisant la « portion » du monde qui nous est ouverte, offerte (caverne chez Platon), observable, connaissable d’un savoir claire et distinct : quant à la poursuite de la causalité jusqu’à l’infini… l’ombrages…               

Suffisante,

soit en physique

soit en exemple morale ?

Ce n’est pas sans rappeler le « bien commun », plaidoyer par/ chez Aristote qui vaut déjà dans la politique, au lieu de « Bien Suprême platonicien trop eidétique, trop reculé, ombragé, différé dans le temps?

Et en épistémologie ; « le maximum expliqué »? (oui, suffisant dès lors). Et les « plis », rides, dérides ne font plus peur à personne… Ils sont enveloppés et développés, comme dynamise et energeia, selon l’entéléchie finale…

Monade délimite (sınırlanıdırır) alors les exigences et espoirs du Platonisme (épistémiques) et ceux du cartésianisme du cogiter. Mais une dé-limitation déroulante, dynamique, temporelle…

Chez Leibniz, représentant de la modernité commençant (baroque, gothique) = limites de l’homme sont alors reconnues (autrement que la matière coupable, corporéité en péché, etc.)

Kant va aller dans ce sens de "progrès infini de la raison" = espoir (d’élargissement des limites, malgré)

 

Leibniz: désespéré et surmonté ce désespoir ontologiquement, démontre donc que rien à se plaindre: tout vaut…

 

Il ne faut (même) pas éradiquer le mal. C’est le choix de dieu: stoïcisme de nouveau.

(alors où en est-il donc dans le châtiment exemplaire, dans l’enfermement ou les expulsions, les lieux carcéraux et fous, les assassins et les damnés ?)

D’où mon hypothèse, et elle est à objecter de par toi!

« Les simples fécondent le monde (fecunda singula mundi), oui mais dans une portion parfois/ toujours pas suffisante et inégalitaire, car il y a des composés, des différentes quantités de « portions », et qui sont harmonieuses qualitativement entre elles ou pas (aussi/ non plus), la question qui tient à Dieu sive ontologie générale, c’est celui qui tient ensemble ou pas (in-compossibilité) par ordre de déroulement sur scènes temporelles et historiques, développement progressif et enveloppement toujours plus intensif et compliquant les choses, en les plissant les uns sur les autres, comme dans les ruines inanimées, géologiques ou tissus vivants, biologiques…

Coutures et sutures du monde devient soudain visibles ; il y a partout des limites qui le traversent partes extra partes, les diverses portions selon les divers « points de vues », « perspectives » se multiplient comme une musique à des cadences variables et pourtant répétitives de « toujours la même chanson » : découverte de l’immanence more geometrico.

Quel ordre, et quelle belle affirmation musicale et architecturale du monde…

Pas de mal au monde au sens radical, chantons buvons dansons échangeons accumulons (enveloppons) dépensons (développons) multiplions-nous en harmonie et en cadence, pom pom pom pom

Hiç yorum yok:

Yorum Gönder