Une
Thanato-Anthropologie de l’Ineffable
Dans le rayoume
des morts (cette fois-ci dans les Cimétières énormes, étalées aux siècles, dans
Karacaahmet, à Istanbul), une simple proménade entre les silulettes et les effigies, des stèles, les pierres
tombales, et parfois des constructions
ornementales en fer forgé, exagérées, des "caves de familles"
récentes qui n'existaient pas dans la culture islamo-turque, apparues çömme le
signe moderne de "privatisation de la mort” sous l'authorité et la
soi-disant protection du "nom propre";
Signes, autant, des bassesses dans la compréhension
de la mort, dans les épigraphes sans profondeur de la poésie anagrammatique ou
calligraphiques des anciens, que font contraste ceux des ancestres qui s'alignaient au pied
d'égalité devant l'ineffable si préparé, si pré-médité dans les allusions et suggestions
figuratives des stèles, toutes différentes les unes des autres;
et qui savait bien que les secrets de serrer
les liens des vivants ou des survivants, passaient par une communauté des morts
dont les même effigies étaient serrés par l'épaules,comme dans le lieu de
culte, par les liens intimes chaleureuses.
Un autre signe
de mauvais présage est la faussé enorme ouverte comme béance dans la proximité
de la cimétière qui est menacée d’être dévorée par la ville: signe de prédateur
urbain de spéculation immobilière ou d’anthropo-phagie (remembrance)…
(voir aussi
çömme la süite ou le commencement, mon autre film dans le même lieu: “Mimésis Identificatoire",
et "Nécropoles et Acropôles")
Database/Ran le
3-02-2020
Philosophie à l'école bouissonnière
Hiç yorum yok:
Yorum Gönder