4.02.2020

Une Thanato-Anthropologie de l'Ineffable



Une Thanato-Anthropologie de l’Ineffable

Dans le rayoume des morts (cette fois-ci dans les Cimétières énormes, étalées aux siècles, dans Karacaahmet, à Istanbul), une simple proménade entre les silulettes  et les effigies, des stèles, les pierres tombales, et  parfois des constructions ornementales en fer forgé, exagérées, des "caves de familles" récentes qui n'existaient pas dans la culture islamo-turque, apparues çömme le signe moderne de "privatisation de la mort” sous l'authorité et la soi-disant protection du "nom propre";

 Signes, autant, des bassesses dans la compréhension de la mort, dans les épigraphes sans profondeur de la poésie anagrammatique ou calligraphiques des anciens, que font contraste  ceux des ancestres qui s'alignaient au pied d'égalité devant l'ineffable si préparé, si pré-médité dans les allusions et suggestions figuratives des stèles, toutes différentes les unes des autres;

 et qui savait bien que les secrets de serrer les liens des vivants ou des survivants, passaient par une communauté des morts dont les même effigies étaient serrés par l'épaules,comme dans le lieu de culte, par les liens intimes chaleureuses.

Un autre signe de mauvais présage est la faussé enorme ouverte comme béance dans la proximité de la cimétière qui est menacée d’être dévorée par la ville: signe de prédateur urbain de spéculation immobilière ou d’anthropo-phagie (remembrance)…

 

(voir aussi çömme la süite ou le commencement, mon autre film dans le même lieu: “Mimésis Identificatoire", et "Nécropoles et Acropôles")

 

Database/Ran le 3-02-2020
Philosophie à l'école bouissonnière

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