19.05.2020

La Loi des Exceptions


La Loi des Exceptions

En lisant Gide, intéressé par la biologie comme Bergson, il conclut que le genre féminin est plutôt "biologiquement déterminé" & fermé aux jeux de variations, & se limite en s'excluant violemment de plusieurs domaines; en vue & pour vue optimale de fécondation sécure, alors que le mâle…

Et j'en connais que des exceptions, des femmes exceptionnelles de ce que je suis obligé de dire ma vie publique au lieu de ma vie privée, puis qu'elle est barrée que j'en ai abondamment de l'autre, toujours autre, jusqu'à l'unheimlich, uncanny: la vie privublique traversée des femmes

Comme un réseau, roseaux, rosarae, rosarium, sentant rose, ayant parfois des jardins entiers des roses parmi lesquelles je m'envire en groupuscules comme le pasteur botanique Mendeleïev, obvi-législateur si fidèle à leur jurisprudence: les lois naturelles de variation des species, stables!

Si l'enfant est toujours problématique surtout pour les pères (Philomène), la femme est toujours, sinon khôra, paradeigmatos,  de ce à quoi le mâle manquerait toujours, &  notre virilité quasi-inconscient & si frivole qui nous rend apte à être aimé par amour aveugle-maternel

Tout cela n'a rien d'exceptionnel, au contraire la loi même, identique à l'exceptionnel, et approuvant et Gide et -moindre-Bergson (jamais vu-entendu du réductionnisme biologique qui éclate à la fois les pétales et senteurs si frivoles de nos âmes si mâles et si enfant-singe ou chat)

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