La Loi des Exceptions
En lisant Gide, intéressé
par la biologie comme Bergson, il conclut que le genre féminin est plutôt
"biologiquement déterminé" & fermé aux jeux de variations, & se
limite en s'excluant violemment de plusieurs domaines; en vue & pour vue
optimale de fécondation sécure, alors que le mâle…
Et j'en connais
que des exceptions, des femmes exceptionnelles de ce que je suis obligé de dire
ma vie publique au lieu de ma vie privée, puis qu'elle est barrée que j'en ai
abondamment de l'autre, toujours autre, jusqu'à l'unheimlich, uncanny: la
vie privublique traversée des femmes
Comme un réseau,
roseaux, rosarae, rosarium, sentant
rose, ayant parfois des jardins entiers des roses parmi lesquelles je m'envire
en groupuscules comme le pasteur botanique Mendeleïev, obvi-législateur si fidèle
à leur jurisprudence: les lois naturelles de variation des species, stables!
Si l'enfant est
toujours problématique surtout pour les pères (Philomène), la femme est
toujours, sinon khôra, paradeigmatos,
de ce à quoi le mâle manquerait
toujours, & notre virilité
quasi-inconscient & si frivole qui nous rend apte à être aimé par amour
aveugle-maternel
Tout cela n'a
rien d'exceptionnel, au contraire la loi même, identique à l'exceptionnel, et
approuvant et Gide et -moindre-Bergson (jamais vu-entendu du réductionnisme
biologique qui éclate à la fois les pétales et senteurs si frivoles de nos âmes
si mâles et si enfant-singe ou chat)
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