Au fond il n’y
a qu’une seule guerre, c’est ce qu’on appelle
la Guerre à
Dieu (Deus ad Bellum)
RECONCILIATION :
compromis ou
résiliation ?
1-
Dieu n'a rien promis, nous nous
sommes promis à Dieu, Moise a malentendu, le peuple était déjà promis sans
compromis, d'un compromis dont Dieu ne se souciait nullement; car une promesse
engage le temps que Dieu ignore; impossible d'imaginer pour lui comme nous, temporalisant
par ignorance!
2-
Mais cela non seulement ne le
réaffirmera pas en son nom et sa qualité, mais elle prouvera aussitôt ce
pourquoi il est si incompromettant, et ça sans appel, et d'aucune prière; et
que cette logique ne ferait tout au plus, pas plus que lui interdire toute
prière, et de nous lui aggraver
3-
Et par la voie de
conséquence, il devrait y avoir une autre voie de nous faire entendre auprès de
lui qu'autrement la prière contre laquelle Il est imperméable et sans
compromis, et logiquement cette voie est la MÊME; Nous devons être sans
compromis devant et envers LUI, lequel l'EST
4-
D'autre voie n'a d'autre
contenu que le même, ledit: Ne L'essayer que par la même voie d'incompromis: Etre
intransigeant envers LUI, le plus ingrat et de disgraciés, hostile et aveugle
dans la distinction du bien et du mal, de qui lui plairait ou dégouterait de vie, de
SurVie-Essence
5-
Et cela ne consistera non
seulement à être studieusement et régulière. jusqu'à se LUI égaler aux lois de
la nature, à l'essayer tout au moins, et non seulement médire et de blasphémer
en parole gratuite, mais en acte la plus aigüe concernant son affaire à LUI, la
Décréation à reculons
6-
Cela LUI impressionnera ou
pousser à l'exagération rocambolesque et ridicule, car une telle guerre à
laquelle aucun homme n'est prêt à sa naissance, ne peut que s'apprendre par exercice
studieuse et régulière, d'une insistance sans compromise et incompromettante, cela
LUI provoquerait
7-
Une telle guerre s'avérant
impossible en Pratique à terminer par
victoire, par la raison simple de différence de forces toujours inégalées, prouverait
par contre en Théorie que l'homme n'était
pas mauvais par naissance, et que c'est Dieu qui l'a rendu pire, et son absence
ou son retrait, tant chanté, sans délais souhaité, sinon exigé
8-
Et on ne sait pas encore, depuis
au moins les Lumières que Dieu, sans promesse, a au moins tenue cette parole de
défaite qui lui a couté, coute que coute, la mort de Dieu Morale, pour se
satisfaire d'une existence antinomique et spectrale du Dieu encore théorique ou
logique qui ne desserve que la Philosophie
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