La pensée de DYSTHEME
La pensée de
système devenu trop taxinomique et puis mécanique, maintenant
« informatique » soit mathématique en vue de domaine d’objectivation
ontique et régionale qui ne sont que des parodies de ce qu’on appelait
autrefois « théorie » au sens noble du terme, soi dans un sens encore
amoindri des mathématiques « algorithmes » des datas
(informations
déduites mécaniquement en une quantité non contrôlable), donc rien a voir avec
l’essence de ce que nous visons de cette tri-partialité qui ne ressemble de
loin à la taxinomie et au mathesis que pour ne plus jamais être semblable
Je rêve d'une
"DYSTHEME" ou le sens est maintenu en suspense par la circulation
libre des indicateurs et des indices devenus pur jeu de signes qui tend à
éclater la "Vie" le "Travail" et le "Langage" (lui-même,
dans son épaisseur historique) tout en dialectisant les domaines de
"Survie"
Dont la
« vie » se diluerait dans son opposition avec la mort, devenant aussi
résistante que possible aussi par ses impératifs propres pour la survie animale
qu’historique, c’est-à-dire en y incluant dans son seins les procédés mêmes de
la mort en vie, devenue aussi imperceptible en tant qu’au service de la vie,
faisant un avec l’organisme en tant que pro-thétique et pro-peudeutique a la
vie
Une mort devenue
comme un prélude à la vie à laquelle donne la tonalité princière, souveraine
qui serait à chaque fois, à chaque instant de la vie qui se met en stance dans
son interpellation, la sienne propre dont elle ne déchiffrerait le sens qu’à
travers une écoute
de ce qui se
serait maintenu comme jeu de signe suspendu dans le décryptages des indices et
des indicateurs objectivisants, en se les disposant toujours hors de sa portée
poussés à l’extrême limite de l’interrogation questionnant de la vie et du « travail »
dilué, éthéré :
et ceci dans une
spontanéité aussi conflictuel que l’histoire a s’y confondre et se perdre,
c’est-à-dire dialectique : dure existence qui ne s’avance d’une manière
constructive vers ce qu’elle est déjà que par sa propre déconstruction et
souvent à ses pertes et rarement aux profits de ladite histoire : et ceci
s’appelle la spontanéité de la « vie » (bios en différé avec zoé),
chose étrange sur terre…
Première partie
au moins, exactement comme ce que j’avais écrit en exergue dans le bio de
Herrselavy, déjà en 2009, et les autres « parties » séparément et à
la fois, partout déjà travaillé, sauf le nom, dont le concept ne se baptise d’un
néologisme grec que dans ce texte.
Donc une pensée
de DYSTHEME serait l’issue à la fois de Foucault (analyses et distinctions des
domaines difficilement distinguable : vie-travail-langage), de Heidegger
(donc l’une d’une analytique de Dasein
faite déjà en vue d’une ontologie fondamentale et qui la vise comme l’achèvement
de la métaphysique onto-théologique,
et redevable a
la pensée de déconstruction derridienne concernant les éclaircissements
colossaux concernant surtout le domaine illimité du langage, dans son rapport à
la vie, et dernièrement toute méthodologie phénoménologique pour permettre à multiplier
les distinctions entre différentes « poser », « thésis »,
des « thématisassions » et des « thèmes »,
dont les conflits, comme ne serait-ce que sous
l’analyse lyotardienne de « différends des régimes de phrases »,
n’attendent trop que pour être résolus ou se dilués dans les successions des « é-loignements »
(dys) des « thèmes » comme
pour donner lieu à des nouvelles « thématisations » hyper-dys-thétiques,
et ceci loin d’une
spontanéité mais en un processus actif de différer dans l’histoire d’un être historial,
et non pas un simple issue de l’histoire de laquelle il peut s’éloigner pour
des autres proximités à travers des « proxies », des « relais »,
des « relèves », des « rêveries », des « contenus »
et des « formes de rêve », et leurs « ré-écritures »,
Durch-arbeitung[1]
vers laquel le « travail » se verra être dépassé, une « perlaboration »
ou un hyper-texte, un « working
trough for truth » attend encore les langages humains sur terre,
vivants ou morts…
Dystheme
serait un moyen technique et logique pour formaliser un « mittelbar »,
un « millieu » sensible et en devenir, en vue de vérité et de son « aliénation »
donc…Une vieille histoire, aussi vieille que le monde alors…
[1] Comme une derniere étape du “travail du rêve” freudien, poussé assez loin par J.-F. Lyotard,
penseur de mémoire et d’écriture en image et en discours (cf. Discours, Figure)
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