Soft
Machines
(Transsubstantiatons)
Le terme
"soft machine" (machines molles) vient de l'auteur américaine William
Bourroughs, de ses vifs intérêts précoses pource qu'il appellait
"Révolution Eléctronique", non sans rappeller "software",
tout ce qui est programmable et de nouveau programmable, et encore une fois non
sans rappeller ce qui arrive à la supposition de l'âme dans notre époque que
nous analyserons à partir de l'expérience médicale d'anasthésie maîtrisée
techniquement. D'où l'évocation des "miracles",
"ensorcellérie", diabolisations, "guerre au diable" dont le
thème majeur devient le mécanisme de "faire la guerre au diable d'autrui
pour chasser le sien" dont la longévité est ahurrissante.
Du Marcionisme
au concept de "transsubstantiaton" non seulement simple rite cérémoniale de culte mais comme pratique (praxis) exigée
(à la paulinienne), voire une quêtte pour le communisme de l'éclat, après le
dépassement du moment grec de la "religion esthétique", de l'éclat de
l'or empériale, à l'éclat sans éclat du vivre ensemble en communauté.
Database/Ran
06/10-01-2020
Communauté des
Visionnaires
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