Elle: “Derrida is by far one of the most
rigorous materialists.”
Moi: I agree but...
I say "but"
What’s a material? or what’s the matter in
truth in philosophy? BEYOND or without US *?
I would answer, and I must, so long to this
"just" feeling,
but just a feeling just (to prove textually, we
go on),
Je vous dois la
vérité en texte…
A la réflexion, même
Platon n'est pas inflexible par rapport au poème de Parménide (il n’est pas imperméable,
impénétrable face à la matérialité,
parce qu’il a au moins écrit des “dialogues” (ou simplement, justement,
au juste dialogué) avec la “doxa” et il a atteint dans leurs cœurs certains
d’entre eux –parmi ses citoyens doxiques ou toxiques- il les a atteint dans sa
royaume à lui, celle des idées, qui même lui, il ne connait que de par sa forme
(même pas peut-être, lui non plus), qui pourtant autre lui, plus ancien,
Parménide, à son tours, il aura dû se taire tout simplement, justement (comme
les plus anciens –aner- ainés, plus
sages) pour être convaincant –et moins dogmatique dans la forme en tout cas-
dans (son) l'idéalisme absolu comme ontologie, bien avant qu’une parricide en
son encontre soit programmée, et même entamée dans le Sophiste où il se fut
trouvé dans l’obligeance de parler et d’accepter de “triton genos”, comme un troisième
état, beyond être et non être… Ce qui
n’est ni idéaliste ni pas du tout matérialiste, quant à la valeur de vérité (Truth
value).
Sans “pogrome” (extermination) des sages –des
plus ainés muets, néanmoins s’inscrivant par sigle, par signe intercalé et
intercepté dans la mémoire des plus jeunes, élus-, la philosophie ne peut donc
commencer, c’est la loi du genre qui l’oblige, que par le meurtre en soi du soi
en “sage” (à la fois le père (figure égalé et plus supérieur que le père), un
sorte d’ainé incorporé et puis introjecté dans son cœur, et (en) soi-même (en)
tant qu’il le devient ou l’est déjà devenu) d’abord à l’intérieur du soi-même
(tel deuil, tel relâchement…)
Quel deuil et quel relâchement qui en résultera
ou l’accompagne justement auxquels ou à la hauteur desquels la qualité
rhétorique du salut, de la délivrance (du deuil qui l’accompagnant) de la
parole dont la passivité (paix, délivrance) ou l’agressivité accusatrice se mesurerait?
Il peut y en avoir au moins deux : passivité et activité,
et les deux
Ne serait-ce que
pour donner lieu (dans le cas du platonisme socratique) à une saltimbanque ou
funambule duelle sur la corde d’agora publique, devant la visibilité et
l’audibilité donc de la “circonscribilité”
(ou “circonscrédibilité” ; je fais dériver d’« avoir bcp de circonspection », « circoncision »,
« inscription », « crédibilité » ; et donc non
seulement simple réitérable mécanique qui donnerait lieu au mauvais
mimesis) publique des citoyennes avec qui vous auriez consenti
préalablement à parler la même langue et à leur niveau, c a d faire de la
“dialektikè, pour qu’ils comprennent eux-aussi et partagent la même
circonspection endeuillée (passion) envers le père ancestrale du logos
qu’on n’a jamais
entendu à parler (grecque) ni déchiffrer les signes, mais gardé le respect
silencieux ou le silence respectueux, dû à son aspect idéel (c a dire sa forme,
case vide –sépulture- réservé a l’idéa comme le souvenir de qqch qui n’a jamais
eu lieu et n’aura –par l’irréversibilité du temps qui a déjà fait son œuvre, c
a d l’oubli et laisser des traces indéchiffrables, mais laissant ou pointant de
doigt un signe plutôt “accusateur”, plus dérangeant que paisible contemplation
unitaire, à l’unisson harmonieux
(deuxième spectre
de l’idéa, le parfait Atlantis, la mémoire pleine, altéré et intercalé par l’écriture,
par la voie du signe intercalé et rarement intercepté (introjecté) en plein
circonspection identificatoire, (in)corporé immatériellement dans le plus
profond du soi homoérotique (ou simplement gréco-érotique) auto-hétéro-séminale
ou de la dissémination: alors qu’avec l’écriture oublieuse, nous sommes dans un
bavardage interprétatif sans issue, car les signes nous trahissent et
n’arrivent jamais à leurs destinateurs (bien-aimés) au temps, dans la présence
pleine, dans la jeunesse opulente et vigoureuse, c a d avant que la mort
s’installe et sépare, les uns les autres,
les générations
destructrices ne gardant, non seulement les gens, même pas la ville indemnes,
dans sa beauté idéale, effleurie, et les gens en général (par corruption des mœurs)
imitent la nature (alors que pleine circonspection identificatoire n’existe pas
dans la nature au profit du simple mimétisme ou réitération mécanique, sans vie
véritable:
(“la nature n’est animée que par l’opposition des sexes,
alors que dans la cité…”)
dans la destruction
auto-annihilante, sans respect dès lors eu égard les aner, ainés, se querellant
comme les ptts lions entre eux, ne supportant pas partager le même mamelon ni
la souveraineté du lion-père, du plus fort, alors que nos ainés qui se sont vus
être approuvés non par signe (comme la horde des animaux imitatifs des signes),
mais par la vraie protection éprouvante et la proximité accompagnante, jusqu’a
la mort générationnelle (naturelle), dans la plus haute dignité qu’un citoyen
peut espérer au-delà des monuments qu’on peut toujours voir un jour être
saccagés, et les sépultures érigées, toujours être brisées, comme nos cœurs
déchirés à la vue de leurs départs sans voix, sans souffle, comme avec la
disparition desquels une langue grecque si originale qui disparaissait en
laissant derrière eux des vieux mots dans la bouches sans respect et
querelleuses des plus jeunes (non sages) qui veulent toujours prendre là-dessus
que se laisser toucher derrière les choses, par le fond de la vérité-délices,
véritable source de la fraternité offerte par Éros et une paix grecque, c a
dire la délivrance des générations, dans la passivité de la paix, les plus
durables possibles à eux-mêmes,
contrairement les barbares qui ne pensent que
saccager par griefs au lieu de savoir toucher le fond des choses, briser nos
chers enfants, dans la stade d’une grécité (greächheit) pure et promettant,
promis avant même de leurs naissances, attendus comme dans un rêve idéal (dans
la pensée seulement) qui réanimant par leurs souffles avant la venue, les
commerces de citoyens entre eux dans ce qui font de tous les jours, mérite de
leurs efforts fructueuses, mais si difficiles pour certaines (seuls les non
grecs, les traites de commerce peuvent penser à en fuir, la tache venue, par
manque de cohésion promise à la propriété immuable dont seuls les grecques ont
l’accès, ils n’obéissent que non par vertu, mais par peur d’être vendus à des méchants
traiteurs, et non plus durablement, par propriété identificatoire et
réciproquement fructueuse en liant les grandes familles entre eux a partir de
ce qu’ils ne reconnaissent que par-dessus de tout de leur propre bien
ancestrale, c dire leurs propres fils,
générateur des
liens avant même le temps de la réforme des lois les plus anciennes par
l’époque de Solon qui a osé écrire la loi, alors qu’on n’en vivait tous les
jours même en étant déjà en nature, selon les divinités offertes, là-dedans,
jour et nuit, et même après la mort, séparation, et jamais oubli, sans besoin
d’autre trace que le sang grec partagé depuis la naissance, et non pas par
quelque intérêt d’obéir ou faire semblant d’obéir aux lois, comme les prétendant
incultes se font valoir dans les affaires d’État qui ne tolère pourtant jamais
la trahison, plus que surtout nos soldats les plus jeunes.
Voici à peu près où
se situent matériellement les sages et les moins sages dans des institutions
bien matérielles de la cité grecque qui nous a offert l’idée d’idée immatérielle
au lieu de vides et défectueuses sépultura seulement…
(*)
Us in English, datif of we. What’s “we”? in
philosophy? If not a socially construct assembly (we), it’s the “reason”,
“beeing” or “truth” in anyway school of… and invariably of manyfold languages?
If we are the materialists, go on thinking by self in the “traces” of
historical languages and schools, institutions, rhetorics…
In old
(aner, ainé) turkish, “us” means “reason”, and we have an another Word but not
originally turkish in turkish actual for say “reason”, “akıl” (ouf of question
now, an erasure of truth).
“Us-ta” means “maitre”, in philo. Older Sage
(aner philosophe). But we says “uslu” also for youngs peoples who are not
common, but intellectually more apte for thinkfull actions or quite life
behavior in generally.
“Uslu” (exacte traduction of “sage” in French:
“tu es très sage” but not yet Sage, etc. a candly or canny hasard of trace).
My discours in text goes on with thus semantic
channon: Us (reason), Usta (maitre of thinking) and uslu (reasonable person, in
preferens “young male person”). We will construct a text (a fictif but historicly similar grec argumentation, like a traduction
of an old socratic text for a better comprehension of “what’s just the matter
just? in philo.
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