D'une réflexion mallarméenne
(Fehr-sehen dans une taverne espagnole)
So far
seeings…
Uz-görüler…
à @armybebe09
*An answering machine voice*
“sorry but the choice I've received cannot be found upon your list of
response
please try again!”
Les machines de plus en plus puissantes prennent
là-dessus & commencent à faire des remarques de plus en plus inappropriés, mal
reçus et mal vécus dans leurs peaux par les humains, elles nous font travailler
plus qu'elles works: "Try again, try again!" And you? What
do U exactly while?
Elle : En réponse à @MariahCarey @SongwritersHOF
Congrats
@MariahCarey ! I have always loved you and your music! Lucky you don’t need to
record melodies on your answering machine anymore because you’ve got voice
memos now
Moi: Herkesin
bir ilkleri, "ses débuts" vardır, kendi "firsts"lerini
hatırla ve hakîr görme namusuyla çalışan gâribi, sesi güzel olanın kendini önce
-ekranlarda değil- kendi telefonunda, sevgilerini sömürebileceği ev ahâlisi ve
onu sevmek zorunda olan akranlarını karşısında demo denemeli!
Memo et demo alors… C.F.R. à Démontrer !
*
Elle: “So Brexit
is nearly on us, I’m hoping free of the EU, we get back to traditional British names:
1st
Continental breakfast banned, traditional full English fry up.
It’s not
Voice Mail, it’s answering machine message...”
Moi :
Depuis ce commandant romain Britannicus qui vous a
fait cadeau/
Gift de son propre nom dont il s'est avéré poison/
gift, votre race a failli à se disparaitre par/sûr les
terres continentales/
alors que sur une petite île avec les renforts tout
autours/
vous seriez en finale (béate) sécurité
Je pige finalement que, derrière cet entêtement très
britannique de ne pas appeler les choses par leurs noms (Proper Name), il ait A Reason:
"Différance" très française (depuis Derrida en tout cas) veut
que la langue fonctionne par différenciation: Avez-vous donc a Questionning Machine?
*
La*chine questionnante
Peu de mots n’adviennent aux autres langues d’origine
latine depuis la langue allemande qui est pourtant riche de possibilités,
surtout quand il s’agit de « technicité » et de la « pensée »…
Je pensais les dérivations sérielles heideggeriennes de « Frage », Befrage, (question),
et non pas encore de « Fernzehen » (« voir de loin » pour la télé-vision, so far seeing, uz-görü ve uz-görü gereci)
d’où le titre du livre de J. Lacan devient intelligible et délicat (et un autre
livre, tardif, celui de Derrida, « Entretiens Télévisés » avec
Bernard Stiegler –Echographies de la
Télévision-, soient loués au passage, ces deux grands heideggeriens qui ont lu, l’un après l’autre certes,
sérieusement Heidegger et depuis l’Allemand, chose rare en France sartrienne
depuis Merleau Ponty, plutôt lecteur de Husserl)
Mots clés: phenomenology of see and seen, Sehen,
Augenblick, coup d’oeil, la théorie de “regard” de Sartre, « foc the see »,
perception, réception, annehmen, Annahmung, recevoir, alımlama (« nebens
Erinnerung unsers gehabten Elends und Annahmung zum Lob Gottes », 1645 :
« en plus de se souvenir de notre misère et de recevoir la louange de Dieu »)
Que faisons-nous (« nous », un turc parmi
ces donjons de pensée) alors avec ses prémices et les pierres de touches sur
notre chemin de pensée, comme les petites miettes kierkegaardiennes, disséminées
sans intentions expresses toujours, sur les sentiers battus ou pas encore
battus (je commence déjà à peindre un paysage et puis un visage revenant de loin
en colorie fades derrières les brouillards de pensée toute béate) : ma méthode
de description phénoménologique qui nous montrerait fournirait l’issue ou la sortie,
le « point de fuite » dans la perspectif à l’italien dont Alberti, le
juriste de Renaissance donnerait ses « droits au regard », le
recevait et l’adoptait, annehmen
(recevoir avec la béatitude).
Et il faut peupler la Scène des revenants shakespeariens
ou avec l’inspiration arabe des « Milles et une nuit », de ceux de Calderon,
« La vie est un songe », ou les faire voir ou « donner à voir, de loin » qui fait « la loi du
genre ». Encore de la « litera » comme prémices, vous
diriez-vous, en tout cas après la vision de peinture, en vérité du théâtre à
l’italienne ou à l’espagnole baroque ou anglaise. Où est donc Marlow et où est la
Traumspiel de Benjamin, et das Spiegel (Mirror claire zen de Lyotard)
et puis de Bernard Stiegler ?
Ajoutons à ce beau tableau sériel à la Deleuze et à la
Virilio qui ont accepté que la pensée et la ville (paysages champêtres ou
urbains), les images sont une question d’intensité
et de vitesse. Sans cette vitesse et
ce peuplement des spectres revenants, il est impossible à penser et à forger
d’abord des images cristallines avec les traits et les traces affectés, traces
d’affects et puis de concepts et j’en ai rajouté récemment de « forceps »,
et ce pourquoi d’intensité?
Et où est derrière ou au-dessus (beneath) la vision béate spectrale, la voix, Stimme de la Stimmung, et
non pas un « état d’âme » psychologique quelconque, non, mais un bizarre
« supp. », un « supplément d’âme », un Grundstimmung, dira-t-il, Heidegger, qui aurait remplacé imperceptiblement
dans la perception justement ce célèbre double Geist et Seele : Segen gegen
Seele !... Ist Geist damn diese
sicht ? Es-ce idéa cet « aspect » visible ? Si
seulement !... Il y va aussi de l’oreille, d’œil, d’œillet et d’oreiller
veuf, comme de la poignée, forte, fragile et toute neuve… Grundstimmung, c’est
tout un dispositif, un salon ou un forêt automnal, de Georg Trak où les bleus
se tournent en pourpres…
Belle panoplie de travail, une boite à outil déjà
quasi-conceptuels pour en forger les nouveaux et pour en déconstruire certains,
en tout cas pour ceux et celles qui se réveillent des plus beaux revenants avec
un sursaut et l’élan vital final de
cette cauchemardesque nuit platonicienne encore dans laquelle nous nous abritons
avec les images et des sons, toute faite, et de mille morceaux à décortiquer et
l’écorce et le noyau noématique, et
l’écorce et la créte, de la Crétologie (cf. mon film) aidée de la Nouvelle Science
(Gaya Scienza) de l’Anagrammatologie –cf.
autre film- (ses dessous, sens dessus, en quatre directions de quadruple de la
représentation : analogie, similitude, ressemblance, connivence, dont il
faut ajouter pour simplifier autrement « la proximite et la distance »,
tout un jeu d’échiquier matriciel et matricieux, Chôra divine de Holy Coran, ou
de « chorus » des monothéismes, tous dans le même pannier, y compris
ceux qui ne sont pas encore aussi monolitiques, comme le bouddhisme, l’indouisme,
le taoïsme, coloré ou fade dans cette nuit de brouillard, nuit indienne,
dansant, clapotant les langues, dans une taverne espagnole, babylonienne,
chantant en table rond avec les chevaliers et y participer en dernière spectacle
non pas à une tauromachie diurne pour les enfants et jeunes puber-teens, mais
un véritable jeu d’amour dans toute sa violence ohne Warum, principielle donation: plus fort que la Passionata dont
elle est image iconique en chair et en os, si ce n’est pas encore blanchie
totalement du sang rouge et de bleu, des gitanes : faire revenir à une
piste de dance les revenants, les ancêtres morts par passion afin que nous, imbibés
des images sublimes et sublimantes, dans Errinerung
des amours perdus et dans l’esquisse en horizon des nouveaux, tout avant
derniers :
Kittlerbot @FKittlerbot ·
Whereas
according to Derrida it is characteristic that she cannot hear an interference.
(Considérant
que, selon Derrida, il est caractéristique qu'elle ne puisse pas entendre une
interférence.)
*
Cher lecteur, in extrême onction toujours très tardive
tu en jugeras de nos difficultés
Après mille ans de malheur et de malédiction portée
sur soi
Il et elle –iléité- ils ont brisé leurs miroirs
quoique asymétriques, mais en commun des mortels
Dans une nuit terriblement indienne, terriblement andalousienne
Dont elles ne voulaient plus se réveiller et se mettre
au travail de deuil, Andenken de la mémoire
Qui arriva avant la dernière mort (suspendue dans la
pénultième), alors que
C’est elle, encore Mynemosyne qui leur donnait la force
de recommencer de nouveau à chaque jour
Car avec tant de malheurs en vestige, suspendus en image
et voix, maintenant devenus musique et la cinématographie paisible et accalmie
Ce furent d’abord de vents violents, puis de pluies
torrentielles –suspendus maintenant en rythme et en cadence- qui les réveillait
et abimait dans leur tourbillons
Ey Uz-gözü, az-görü, az gittik uz gittik, dere tepe
diken iken, develer tellak iken, bir varmış bir yokmuş bir Gılgameş varmış leş
gibi kokarmış hergün bir dağdan diğerine güz taşarmış gül tararmış kendi hal’ında…
And so, ainsi commenca le logos en fleurs…
Et ainsi encadré en paisible scène apollonienne dans
une cadre dorée
Tandis le maitre puisait ses sources de Qual/ quallen…
Dans les tourments les plus terribles
Dit-on, péri en mer dans un sefer, so far aux Indes
Et surtout pas dans un safari organisé par les colonies
pénitenciers en vacance
Dont la femme toute endeuillée dance dans
le salon vide
Avec les bibelots frappés d’inanité conjugale[1]
Nous étions et nous fument ensemble
Maintenant quelle est la différence de l’interférence
masculine ou féminine, une présence animée, animante, embellie des fleurs printanières
Dans l’âge ombragé des salons d’automne
Avant l’avenant de longues nuitées d’hivers en cirques
de villes
Ou dans les paysages champêtres en Espagne des
vacances…
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