Grand Art : Philosopher à
féconder
(Banquet domestique)
Ou
L’éducation des
enfants-mots-concepts-forceps
Zahide @zhdysl · 10 déc. 2019
“...Şu halde en yüce şükür düşünmek mi olacaktır?
Ve en derin şükürsüzlük düşüncesizlik?”
Almanca'ya bakarsan Lutherciliğin önünde başdöndürücü
bir dilsel imkân olarak fazlası çıkmış: denken
(düşünmek) , Danke (teşekkür ; Şükran),
Gedanke, Gedächnis, Andenken
(Hafıza=Hıfz). Fikr ve Zikr, Zikr ve Hıfz ilişkisini bile kavramak değil,
karartmak sünni dogmaların önümüzde engel olarak duran, sunulan ve sunanların en
büyük günahı!
Kelimesi -yabancı bile olur- olmayan, adlandırılmamış,
kavramına sahip olmadığımız zihinsel-tinsel süreç de olmasın" mı diye
çevirmeliyiz Stefan Georg'u[1]?
Buhara Semerkand vb ilim merkezleri olmuş yerlerde, Anadolu’ya gelmeden önceki
Türklerinin tek meziyeti, bir Sözlük (Divân-ı Lügât-ül Türk, Kutadgu Bilig)
yazıp -en azından sınırlarını ve alanlarını[2]
bilip- Türkçe'nin Gök Tengri'si ile bu işin (metafiziğin) olmayacağını kabul
etmiş olmalarıdır
*
Alors la pensée (ne serait-ce que sa possibilité), serait-elle
la bénédiction suprême, et l'impenser le plus profond manque de gratitude? Et si l'impensé, l'impossibilité de dépasser
l'apparence de pensée dans ce qui est déjà pensé (mots, concepts, marques de
penser) est ce qui reste à penser profondément?
Les mots les plus anodins, courants, simples comme
"thank", "pardon", voire "yes" qui n'est pas une
reponse, et ce "et" ("pourtant", "tandis que",
déjà, toujours déjà) spacio-temporalisant, sont-ils les plus trompeurs et voués
à l'échec de (ou imperméables à) la déconstruction qui relance son
auto-mouvement?
Et si ce que nous appelons les concepts philosophiques
et croyons user à bon endroit, et à plus forte raison, ceux qui ne sont pas
philosophiques car pas encore pensés profondément, sont des obstacles (seules
et véritables) devant la pensée: Sans surmonter un obstacle, pas de penser!
Pensée a ceci de curieuse que comme sport, cuisiner, uriner,
etc, elle a l'air d'être commune aux mortels, et non une spécialisation. Alors,
le reste non-philosophe des mortels, les enfants, les oiseaux, les chats
comment pensent-ils alors pour surmonter ses obstacles à penser: car sans
penser pas de vie!
Comment alors que si la pensée et ce qui est déjà
pensé (comme organe épigénétique), intimement lié à la vie en générale (commune
aux vitalités des organes), pourquoi nous ne pensons pas alors que nous vivons:
car nos organes inférieurs de penser font l'affaire sans peine de penser!
Nous vivons sans penser alors que nous n'en mourons
pas veut dire que nous le commun des mortels, nous sommes dans une vie morte, sans
vie et de vitalité, sans souffle véritable, entouré pourtant de l'intérieur (organes
de circulation sanguine) et de l'extérieur (circulation des biens, de l’argent)
des pensé/e/s
Venu à un tournant des plus périlleux (Gefahr et Erfahrung), celui de faire
penser les choses, les machines au lieu de soin porté d'antan à nos rejetons
pendant l'instruction corporelle, rationnelle, et si c'est possible un peu
spirituelle, en leur soufflant des mots et des tendres baisers: je haïs et
Oui je haïs & ils me haïssent mes rejetons mal
instruits, par moi surement, car je les ai confiés soit à la machine instructionelle
d'État, ou aux privés, à des étrangers qui les haïssent également, mais pas
plus que mes rejetons nous, tous ensemble, haïssent plus que nous ne sommes
capable de le faire!
Plus prise des rides illisibles plus notre
civilisation sans vie et machinalement pensante et spirituellement, hypocrite
et "bien-pensante", engorgée des affaires à traiter sans intérêt, sans
vie intellectuelle, nous avons chargé les machines, mais en laissant pendant ce
non pas en état libre nos rejetons, mais relégués…
Relégués, perdus, libres, complotant sur le dos, insupportables
"baby poker faces, émogies sans émois, fiancé/es sans promesse, ni salut
ni adieu, semi-animale sauvage à proximité inquiétant, un tueur en masse dans
son lycée d'Aristote, ses papers vomissant de technicités masturbatoires, vas-t-en!
Mal instruit, bien construit, opulent jusqu'à l'obèse,
rempli par des idées diverses et vaques (non-kantiennes, non-merleau-pontiennes)
de "free World gegen islamichen oil
MBA", "Comment devenir un soldat De Wagner en Libye",
"trois évaginations en une seule", magasin littéraire, une grosse
tête!
Chose chosale, mathématique arabe! Méritant et
manquant plutôt le fouet que médicine préventive, né sur un jet-lag confus que
personne ne s'en rappelle sauf les fichiers d'État Civil, pourtant lié à l'Église
hormonale, mormonale, Sheikh sunnite adoptif barbu à la jupe, une image de sage
obtus!
Malgré tant de défauts dont aucun ne sont visibles aux
autres que moi, grâce à Dieu, plutôt un pubértain que libertin, trop vite
poussé de taille, impossible bientôt de baiser de partout et partout par
moment, que faire? Une chance, il souffre, voilà un signe distinctif d'existence
de Dieu, domestiquement prouvée par une saisie intuitive!
Je crois que mon Église est fondée sur la bonne pierre,
quoiqu'on est encore dans le soubassement suave à savourer, sans mon fils il
n'y aurait pas de Dieu à la maison, un lieu de culte, & sans Dieu -Dieu
sait- il m'aura été impossible de le supporter chez moi, un morceau de
Moi-Image!
Voici que je le déclare mon ange, si ce n'est pas
encore "gardien", probablement "annonciateur" des choses
qu'ils n'expriment pas encore, mais je sais qu'il sait que je sais, ainsi de suite,
ce qu'on appelle intimité de soi à soi, auto-fécondation inespérée et promise
au future: Grand Art
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