27.10.2020

D’un Ton elliptique...

 

D’un Ton elliptique adopté naguère en Philosophie

 

Si l'on aurait été avisé que la thèse d'être si peu que soit révisée et que du triangle manque un X, et que le monde se fut aplati de nouveau, que l'homme redevenu un minuscule variant négligeable, et le séjours-auprès irrite, point de mérite que savoir s'adapter à la fadaise, péril, halte !

 

Qui oserait et avec quel droit d'entreprendre de tracer un nouveau plan d'immanence pour ne rabattre les assises grondantes que sur ce lente travail d'arpenter tout chemin de retours du lisse au strié; du point à la ligne et à la surface, au dessin fruste, barbouillé de couleurs des idiomes babélisées?

 

Si juste que fut Dikè intransigente, si intransitif que soit le verbe, si impénétrable que soit le réseaux des simulacres mortelles, si courageux que soit l'homme de mérite d’antan qui s'exalte d'amincir la voile d'Isis, séjourné dans l'aride, contemplé la faste du limpide, l'oracle!

 

Qui oserait à pressentir sans adepte, sans mystagogie, sans théâtre des ombres où la trace sans présence promettrait un retour  à  Wirklichkeit, l’effectivité, sans lanterner sous les jupes frôlant la plérôme pneumatique des morts qui refuseraient d'enterrer les morts pour étendre anamnesis?

 

Quelle icône me ressemblerait, dans qu'elle image de la pensée me mouvrais-je, dans quel fétiche le lointaine me serait dans l'intimité; connaitrais-je mes bornes; ce retour à l'envers des choses, mes dessous, mes principautés, mes haleins dans la galerie du grand court des Weltbilden?

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