Agonie et Ivory…
Il fallait et il
faut avoir, ils auront dû d'abord avoir un peur affreux, et ensuite -ensuite
l'arme- le décès subite par leurs armes, oui armes au feu, non leurs armes (bras)
à eux et ils se furent sentis soulagés, jusqu'à crever par un obscure nuage des
moustiques qui portèrent leur malheur.
Ce fût une
longue marche et une courte histoire. Tant mots et souffles du vent, des
tornades et des tourments, rien de cela ne subsista; que des morts et des
vivants, ils se furent séparés par une jungle et ensuite un désert et un port
vers la mer, ils quittèrent le continent avec leur butin.
Et comme tout
fut dit, sans avoir besoin d'être dit,
futile, comme si
l'on fût dans la guerre, virile, muette
et le mutisme de
s'entredévorer, ô non rien de cela, facile
ils se furent
tus, sureté en mer, hallucinations
et les brebis
engorgés, languissamment et cruauté
ne pas être sûr et la cruauté réitérée…
Agonie et côte
d'ivory (ivoire) port d'honte, porte de fontaine des innocents, des assassins, des
sésames, des lilas sauvages, des Cézanne, des Manet, des menottes, des
fauvismes picturaux, des intoxications exhibitionnistes, de morne-nés, des
avortons, des exvotos, des serpents à dieu.
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