Cet approche nous paraît tout à fait promettant pour penser le devenir (au-delà des concepts aristotéliciens de "la génération et de la corruption"), le kinèsis par lui-même, sans l'entéléchie (sa finalité ultime).
En privilégiant les plissements et les de-plissements dans la perspective de l'évolution des organismes (dont les organes ne sont que des "solutions trouvées"), on peut aller dans le sens de multiplicité non numérique (délaissant les “monades” trop statiques, atomistes),
essayer de penser qualitativement “les techniques de la nature”, dont on peut découvrir, dévoiler les "ruses" de tout un chacun (par eux-mêmes, et par les autres singularités, lignes virtuelles qui se développent ou s'enveloppent)
à partir des "portions" (Abstattungen) qu’ils en projettent (sans ubiquité, mais partiellement, dans des "microclimats"), ou en découpent, comme des relais (pour des nouveaux commencements nodales, rhizomatiques, dont la fin, ou l'effet en relacerait des nouveaux), pour des nouvelles relèves (aufhebungen), et des relais pour des relevés (les projets qui se dessinent en exquise, virtuellement),
selon les modes et les cadences (danse ou fête) différents, des rythmes variables et vivables, ou même extrêmes, invivable, sans supposer un espace-temps neutre, ni un télos ou eskhaton; en l’espace qui s’espace et le temps qui se tempore (se contracte) grâce à leurs activités: celle, justement de l'Anima qui n'a rien à voir avec l'âme.
(via H. Bergson et G. Deleuze, plus
J. Derrida -par son "économimesis" généralisé et non" finalisé)
voir la nouvelle
version de cet enregistrement: "Naturschrifften aus Istanbul- II" -mai,
2024
Database/Ran 1-1-2020
page actualisé le 10
mai 2024
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