Vous savez p.ê., dans les Dico. on dit que "Agnès de France, c'est la fille de Louis VII, devenue la femme de Andronic I er Commène (Commegenos: grande famille royale byzantine), donc fût impératrice byzantine. Du reste le mot "commegenos" n'est jamais un mot neutre, seul le fait de l'entendre donne frisson sacré, ni l'autre d'ailleurs "Paléologos": ça glotte bien dans ces terres. Il faut y aller pour voir les hauts des montagnes de Nemroud pour s'affaiser devant l'affaire.
(Un autre Commegenos célèbre qui n'a pas pû regner, mais devenu -par le ressentiment- l'historien, c'est Alexis Commegenos dont je suis le lecteur admiratif)
On sait jamais à qui on a affaire en Berry... Il peut y avoir des impératrices déchues, des vieilles dames istamboulines vivant en cachette ou à deux faces... Je m'explique:
Inversement, de l'Orient à l'Occident: Le débarquement de Marie de Médici (au port de Marselle) fût également un événement solennel qui fût peignît admirablement par Rubins (toile commandée pour le Palais de Luxembourg -l'autre piste à suivre), quant à celui d'Agnès de Berry dans l'autre sens; elle va en faire sûrement un roman...
Il s'agit donc d'une toile à deux faces comme ça sied à des choses un peu baroques; l'une visible et solennel et l'autre aquatique et sous-terraine...
D'abord "un mariage par procuration" (disent les historiens érudits) fût non pas consommé, mais célébré à Florence (à chercher des pistes à Toscane vers Lombardie, et faire rêver à la fiançée la tombe ou la maison de Sainte Vierge de nouveau en Orient, à Bülbül Daği) entre Marie de Medici et le Duc d'Orléans.
Et puis la future reine fît son entrée dans les terres françaises par le port de Marseille en décevant les bourgeois toulonnais et ceux des autres côtes qui avaient pourtant fait des frais pour recevoir la future reine-mêre dont la famille du Duc en était/ avait déjà cadeau. Et c'est là s'enlacent deux fils dans un trou d'aiguille ou du plafond à deux trompettes à s'en jamais tromper...
Et un Délire sans Fin, commence dans cette histoire... Fin sans fin et très fine et même parfine fumé...
Qui va en être Hugeunot donc dans cette sombre nuit baroque de Saint-Bartélemy?
De Henri II, le Duc d'Orléans (et c'est là que notre histoire de Duc commence et prend la forme d'une "épaise mémoire des choses" et des visages-paysages) épousant sa propre nièce nommé Catherine de Médici à notre Henri IV, attendant (un siècle après) sa future (toujours futurisée) épouse (par procuration, et c'est là aussi le substitut ou "le substitut du substitut") à Lyon (et pourquoi pas donc à Avignon papal? répliquerais-je aux historiens) épousant la terre toscane (donc ses terres en quelque sorte, maternisées par procuration), à savoir cette Marie-là (toujours vierge dans le port de Marseille dont la vue de peuplade lui donne le frison sacré dans le débarquement peigné admirablement par Rubins, cette belle mariée par procuration descendant les escaliers et toujours pas nue / vu son marie)... Il y a une longue piste très fine à tisser de fils à aiguille et c'est délicieux comme un "turkish delight"...
Oui. Qui
va en être conceiller Richelieu? (un petit ornyt peut-il être un bon-conceiller?)
restes à savoir:
*La Reine Catherine finissant après la catastrophe sa régence, exilée en Allemagne (et pourquoi pas à ses terres florentaines mais à Cologne alors?)
*Et pourquoi voit-on des chevaliers de Malte (ou de Rhodes) à présider au débarquement dans le navire royal de Marie de Medici?
*(La prochaine fois, ce sera l'histoire de l'impératrice Eugénie, l'épouse in-fidèle de Napoléon (encore en Corse) et de son voyage en Egypte, digne de Verdi, en passant par Istanbul pour voir Abdulaziz en régence)
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