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27.12.2019

Une soirée du “Mavi Süvari” fulgurante Heilige Anatolie


Mavi Süvari’nin keskin gecede Anadolu Selâmı…

(Une soirée du “Mavi Süvari” fulgurante Heilige Anatolie)[1]

 

"iŞTE şimdi Hapı yuttuğumuzun günüdür", murmura-t-il.

 

"Car Nous avons perdu la langue à l'étranger" (H.[2])

 

mesme "car", (khrè[3]) grecque décourageant nous au moindre superlatif comparatif catégorique vide vide...

 

Ohne Warum, aber/ but Tod[4]

 

Nous, nus, "eprimek", “öpmek”, “ölmek” dans l'empreinte du sceau de Dieu

 

Y a “mains”, des mains partout dans la langue

 

Et l'étranger les a vu attachés ombres mur emmuré de silence du mot,

 

a souflé aux mots maudits le Soir

 

voir jaillir du mot prêtée la main

 

car, zirâ, çünki, ve izâ izleke ve arap ezânı

 

ohne Warum

-mais aussi en langue métèque ohne Warhum-Warh-gar(e)- de Warheit-

 vient sans Prince du jour Diurne

(Prince de causalité conjonctive qui manquerait au Nomade

Le chercher dans sa langue de Frère, Brader, Fratrie Persane)

 

Alors quelle différence entre une mulette et une amulette, et une “femme à amulette” (femmelette) d'Arménie?

b*tail, ic^ne, ou é*ouse du Soir...

 

couchée sur la table d'accouchement sur le Divana de Diana sans identité, sans prêtée la voix,

 

Et sans une murmure des longues haleines sur les maquis du Soir

 

Où l'on voit venir, tant attendu les nuits couchant

-Mor Sipâhî-

comme un Dieu-Homme tonnant à sa guise de réponse à ma non-réponse...

 

"Der Blaue Rietter" en tout son éclat et en toute éclaboussure bleuâtre d'ombrées des minéraux  des Collines d'haut du soir vers les Rhins de Rhénanie...

 

Et qui en tirait  le harnais de l’attelage de ses Reins de Kızılırmak, tête toute en rouge surélévée...

 

A qui demand-t-on parmi ses fils élevés auprès

-“besleme”, “yanaşma”, orphélin adopté d’une nuit-et-six-siècles…

à cette étrange figurines en flèche du temps toujours vers nous, tout en nus.

Quémandeur eunuque de Sultanat…

Restant bouche-bé

La réponse de Dieu tonnant sur sa selle pour vous seules:

 

"Der Tod ist..." en réponse d’écho à “Der Gott ist…”

 

N'ayez peur! C'est du vent du Nord: Karayel!

Passera, seulement votre Herrschaft  passera

-d’ici à Voyvoda, par là Pavlonya…

 

qui vient chaque retombée de nuit, Hécatombe nuitée des bleutés

pour vous décimer seulement décade par décade

 

de par où tous les Meister's en constructions de Catédrales d'Ani et d'Ararat, s'affaireront...

mille ans plus vieille que Toi, ô nu quémandeur !

 

De par où, dolaylarından, aus die heilige Deuschland!...

De père Nicolas, sans fadeur d’Auto Fa De publicum en éclat ouï

 

l'Etérnel Amy et frémissant du soir des clochers de longues haleines de Belle Hélène...

comme dans un “h” inspiré par tes bouches…

ré-baptisant moi en gueuse marécageuse enseveli…

là où Turnam retourne à Balkanie…

 

 

(Poème trilingue inspiré par P. Ballanfat)

Le 25 déc. 2019




[1] Alors que le chevalier fulgure et non salue l’Anatolie dans une nuit fulgurante, la traduction dit qu’il fulgure Anadolie Sacrée, alors qu’il ne la salue mais seulement fulgure, et de par lui que la nuit devient -est nommée- “fulgurante”, alors que l’Anatolie n’est pas sacrée sans son acte, etc.
[2] Hölderlin
[3] De la traduction heideggerienne d’un fragment de Parménide (“Car une seule et même chose penser et être”); noésis, esti, énaï...
[4] Niçinsiz ama ölüm…

22.05.2012

Berry projectiIe -2 ("épaisse memoire des choses")

Vous savez p.ê., dans les Dico. on dit que "Agnès de France, c'est la fille de Louis VII, devenue la femme de Andronic I er Commène (Commegenos: grande famille royale byzantine), donc fût impératrice byzantine. Du reste le mot "commegenos" n'est jamais un mot neutre, seul le fait de l'entendre donne frisson sacré, ni l'autre d'ailleurs "Paléologos": ça glotte bien dans ces terres. Il faut y aller pour voir les hauts des montagnes de Nemroud pour s'affaiser devant l'affaire.

(Un autre Commegenos célèbre qui n'a pas pû regner, mais devenu -par le ressentiment- l'historien, c'est Alexis Commegenos dont je suis le lecteur admiratif)

On sait jamais à qui on a affaire en Berry... Il peut y avoir des impératrices déchues, des vieilles dames istamboulines vivant en cachette ou à deux faces... Je m'explique:

Inversement, de l'Orient à l'Occident: Le débarquement de Marie de Médici (au port de Marselle) fût également un événement solennel qui fût peignît admirablement par Rubins (toile commandée pour le Palais de Luxembourg -l'autre piste à suivre), quant à celui d'Agnès de Berry dans l'autre sens; elle va en faire sûrement un roman...

Il s'agit donc d'une toile à deux faces comme ça sied à des choses un peu baroques; l'une visible et solennel et l'autre aquatique et sous-terraine...

D'abord "un mariage par procuration" (disent les historiens érudits) fût non pas consommé, mais célébré à Florence (à chercher des pistes à Toscane vers Lombardie, et faire rêver à la fiançée la tombe ou la maison de Sainte Vierge de nouveau en Orient, à Bülbül Daği) entre Marie de Medici et le Duc d'Orléans.

Et puis la future reine fît son entrée dans les terres françaises par le port de Marseille en décevant les bourgeois toulonnais et ceux des autres côtes qui avaient pourtant fait des frais pour recevoir la future reine-mêre dont la famille du Duc en était/ avait déjà cadeau. Et c'est là s'enlacent deux fils dans un trou d'aiguille ou du plafond à deux trompettes à s'en jamais tromper...

Et un Délire sans Fin, commence dans cette histoire... Fin sans fin et très fine et même parfine fumé...


Qui va en être Hugeunot donc dans cette sombre nuit baroque de Saint-Bartélemy?

De Henri II, le Duc d'Orléans (et c'est là que notre histoire de Duc commence et prend la forme d'une "épaise mémoire des choses" et des visages-paysages) épousant sa propre nièce  nommé Catherine de Médici à notre Henri IV, attendant (un siècle après) sa future (toujours futurisée) épouse (par procuration, et c'est là aussi le substitut ou "le substitut du substitut") à Lyon (et pourquoi pas donc à Avignon papal? répliquerais-je aux historiens) épousant la terre toscane (donc ses terres en quelque sorte, maternisées par procuration), à savoir cette Marie-là (toujours vierge dans le port de Marseille dont la vue de peuplade lui donne le frison sacré dans le débarquement peigné admirablement par Rubins, cette belle mariée par procuration descendant les escaliers et toujours pas nue / vu son marie)... Il y a une longue piste très fine à tisser de fils à aiguille et c'est délicieux comme un "turkish delight"...

Oui. Qui
va en être conceiller Richelieu? (un petit ornyt peut-il être un bon-conceiller?)
 
restes à savoir:

*La Reine Catherine finissant après la catastrophe sa régence, exilée en Allemagne (et pourquoi pas à ses terres florentaines mais à Cologne alors?)

*Et pourquoi voit-on des chevaliers de Malte (ou de Rhodes) à présider au débarquement dans le navire royal de Marie de Medici?

 
*(La prochaine fois, ce sera l'histoire de l'impératrice Eugénie, l'épouse in-fidèle de Napoléon (encore en Corse) et de son voyage en Egypte, digne de Verdi, en passant par Istanbul pour voir Abdulaziz en régence)

12.05.2012

send me again Sam.../ envois en l'air-postal

salut(ude)....




je consulte le site de ton frère (kardeş) et je tombe sur une série de photos prise à Istambul en 2010... c'était émouvant... la quasi totalité des photos montre les intérieurs profonds (bas-fonds) de Sainte-Sophie (Aya Sofya). et il paraît que vous êtes allés à l'extrême limite du Bosphore (Boğazici), là où il n'y a qu'une gorge profonde avant de se dissiper dans les nués de Mer Noir (Mare Nostra/ Karadeniz). et quant à quinte: (notre histoire commence là où celle des autres finisent) il était une fois dans les temps apocalyptiques... on contait et se racontait: le voici

tout rempli encore des plaines de Berry


sur son dos le temps de moisson


entendait tout léger vent du Nord


là où il n'y a que le temps de désoeuvrement


chantait en secret Ave Maria


venant à soi du soi sur son sol de soie


un autre chant paisible du Duc de Berry


s'illustrait sur ses quatre saisons


oh me disent-ils: 'c'est encore les riches heures du Duc'


'que le Dieu lui remplisse de joie et ses plaines de frugalité'


lui et ses quatre cheveaux, ses vaux et ses moutons se moutonnaient en l'air et en mer


lui rentrant de ses pélérinages, ses panniers remplis de joie des pays


venant d'Orient, connaissant lire ces sigles et ces stigmatas


coeur suintait du sang noble


ses mains melangés se trempaient de suint


oh quelle heure est-il me demandait


'ce sont les riches heures encore du Duc' me repondaient ses anges


encore à voix base des petits matins


pourquoi et pour qui craignais-je?


sois mon héros de demande


quémanderais-je?


oh non dit-il c'est pour ce soir, où il n'y a plus de lune


attends que les chevaux passent


c'est que mon temps est précieux mon Prince, héritier des vents


c'est du vent soufflé au coeur que suis-je né


personne ne connaît-il Persan dans ce pays de Jacques?


ces pélérains embarqués de raisins de joie et de chaigrin


ne racontent-ils pas au Prince ce que ces orientaux deshérités savent faire


de leurs quatre langues


c'est écrit, dit-il


mais il n'y a personne d'ici qu'il comprend veux-dire


dans l'auberge d'Issy et de Là


trouverait-il le vin chaud du parler?


soit-il du Patoua...


oui Seigneur dans vos cavernes et dans nos citernes


il y a des langues encore à parler


soit d'Assomption soit d'Assension


soit du naval soit d'aval


c'est que la foi a du mal au gras ingrat


vas-t-en me retrouver ce chat de grenier!...


he là s.

qu'il n'est pas là...


(P.S. salut même à Cocot de crocodyle pour ses poèmes)