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6.01.2025

Déconstruction de l'essence de la Communauté -2


Déconstruction de l'essence de la Communauté -2 

Soin - Souci - « Sorge » -Cura

*De l'hospitalité

*De la Bienfaisance (Bienséance / Bienveillance)  à l'insouciance (l’indifférence)

*L’éthique de la prise en charge

*Du Cura/ Sorge à l’indifférence du Corps Soignant


Contenu:

Ch.1- Trois fois rein –Sur la venue de «l‘Âge de la Raison» 

Ch.2- Dilemme et le doute circulaire –Abbé Prévois entre la chevalerie et le monastère

Ch.3- La déconstruction sans peine du choix de Descartes –d’un effet paulinien

Ch.4- Manières de se (faire) soigner – « Sorge » et la souveraineté

Ch.5- La Mort comme « véritable maître » et le fruit défendu

Ch.6- Concept de Soins épokhales – « Figures fades d’autrefois » (Nietzsche)


05.01.2025


16.06.2024

Addenda pour Trois Portes de Soufi


Database/Ran le16 juin 2024

14.06.2024

Du Temps Contracté -II


Database/Ran  les 8-14 juin 2024

5.11.2020

Phylum et Intuitionner

 

Phylum et Intuitionner

 

Oppen.

“The self is no mystery, the mystery is /

 That there is something for us to stand on. //

 We want to be here. //

The act of being, the act of being /

 More than oneself.”[1]

 

 

Comme si c'était cela même en soi qui se présente

Comme de donation involontaire,

Comme si c'était une parcelle conquise de la terre

Partes extra partes, uniforme;

Ô Géo!

La mère diaphane, phôs, la lumière étincelante,

Ô déesse nulle science n'arrivera à te sonder,

Toi, pure archange!

*

 

Pour échapper au mystère d'intuitionner, au problème de donation, soit postulé "une fois pour toutes", transcendentalement apriorique, anhistorique, soit comme révélation ou création continue, par Dieu ou Res garant, incapable même d'en changer le cours; quel réconfort pour en extraire l'énergie!

 

Pour échapper en extraire un singulier agencement, une singularité abstraite en ancrage sur la terre, incapable de se désillusionner des dichotomies, induites par des puissantes modèles, pour être sensible ou impressionné des déterritorialisations héritées, actuelles et venant d'à-venir!

 

Perte ou gaine d'intuitionner, par une manque constitutive qui aurait donné le premier élan d'ex-sister en demeure auprès des mortels et à l'horizon de l'immortalité dressée en pierre tombale, schèmes pastorales, métallurgiques et impériales, dont l'objet artéfactuel se déterritorialise

 

Que la gaine de l'inconscient historique se laisse formaliser comme mathème,  la ruine de savoir-faire des générations, une épigénèse des interprétants des interprétations apporte le feu à la case vide du signifiant, an-archivique, verbiage à multiple résonance d'articulation, timbre

 

Et que la matière supposée brute se retire autant qu'elle s'apprête à la disposition sous-la-main, phusis se prive d'une souffle de quête qui s'annonce dans l'énoncé figuratif sur les murailles d'auctoritas et que la terre cuite de l'huile d'olive des pressoirs se remplisse, halte

 

Et chaque agglomération, habitat convexe, accouplement d'irrigation périphérique, diagrammes en fractalisant bifurcations, branchements secrets, et le phylum de circulation des biens s'ouvre et se renferme sur le bien-fondé de hors-la-loi des champs, dans de nomois inouïs; nourricier et allergique

 

Oui digue et halte, expresse la trigonométrie sans nom, le troisième point des hostilités, sur mer et sur terre, en avant garde des sentinelles, chaîne des insignifications, changeant le régime de la terre, le géomètre-astronome, et diseur d'oracles, dont l'énonciation réservée au superbe

 

Double dit et double noyau; ex-involution circonflexe d'une invagination érectile, Érechthéion; fléchir la langue peu usitée, dire des dissoi nomoi, selon des dissoi logoi; perméabilité citoyenne et l'armure d'immuabilité des topoi; et circonvolution voluptile; hystérion et histrion

 



[1] Posted by Kamran Javadizadeh @kjavadizadeh

29.10.2020

Dénégations…

 

Dénégations…

 

In reality no atheists exist; there are only idolaters. Atheism goes deep and suffers. It is not light-hearted or full of grim hatred. It is an affirmation of God.”

- N. Berdyaev

 

[I taught Pierre Klossowski when he wrote "Sade, Mon Prochain", was thinking also... And I think him today when I wrote this message:]

 

Délire de blasphème sert á réconforter l'esprit du sceptique, c'est sa manière de s'affirmer dans ce qu'il feint désespérément (et sans ironie en plus) de nier sans qu'il ne soit autrement en certitude; une servitude en somme autant á ses penchants tristes qu'á son ennemi présumé.


Plus la négation est affirmée, ou elle prend des chemins détournés, non pas pour esquiver quelques interdits dont on aurait pu facilement éviter le superficiel hypocrite, mais pour remédier le vide ou la kénose paulinienne comme acquit d’un longue retrait,

abouti maintenant à sa fin en direction de l'oblitération opérée d’abord avec les colifichets enfantins suivant le souverain mal, nid d’intérêt ou d’amitié politique, sinon par l’exaltation esthète blessée (ô blessed) d’abord et trouvée ensuite son idole dans les ruines terrestres de l’esprit, ou par le détours réfléchi d’un savant dans l’ère de résistance distancée même au milieux de guerres de classe, des fratricides,

qui a le mérite au moins d’éviter la promiscuité de marchandage avec le divin, le sans pareil, pour s’en prendre aux pareils injustes ; plus le séculaire en est d’exaucer les vœux du vieux monolithe s’offrant en retrait dans ses révélations dont on ne reçoit que ce qui nous inter-esse, et de ses res extensa et  de ses res cogitans

 

Ce que je voudrais dire en somme que nous sommes en sommeil (d'un sommeil sans nom, cosmique ou théologique, sinon dans le pire ou le meilleur des cas "psychologique") sans remède, où la dénégation confirme toujours et malgré soi ce qu’elle nie: tant d'édifices ainsi deviennent visibles comme symptôme de civitas.


*

Und warum Turken sunt si unum,verum et bonum?

Et pourquoi dans leur concept (chorismos), alors qu'ils parlent toujours en pluriel (phollakos legomena), sont subsumés en commun (koinètes) tous ces biens, sans que rien d'autre de mal et de manque d'être ne s'y fassent mélange dans leur pureté?

 

26.10.2020

Ethique de l’écriture

 

Pour une éthique de l’écriture

 

La ligne hâtive de l'écriture ne suit pas un espace, elle en ouvre en parabole ondulante et avec ses angles qui font des piques et des hyperboles; hypertexte d'elle-même, elle ne se relance que pour arriver á soi, son moment de réitération, une fois touché, elle produit la différence.

 

Elle suit et poursuit pourtant les règles de grammaire, la connivence et la familiarité des mots, quoiqu'elle en élargie l'usage et parfois la loi; elle n'est pas fiable, mais elle promet la confiance et la vérifiabilité, elle en cherche dans la ruine de la mémoire ; mot resurgi à peine reconnaissable.

 

Quand elle est de part en part intentionnelle, ou bien elle est le message, la pédagogie, utile exposé, ou bien elle lasse vite le connaisseur; décourage et devient impériale, un régime de docilité, triste et fade, faussement intimidante, ça sonne vite faux et inutile ; à éviter la contagion!

 

Personne n'en est assez connaisseur pour se contenter tranquillement de distinguer la forme e le contenu et de s'y mêler comme correcteur; métier lâche de rédacteur qui cherche un alibi pour ne pas écrire, trop écrasé, trop écrasant et inexercé encore pour s'y lancer: L'expérience de liberté !

 

Elle en invente la loi de sa liberté, elle en constitue sa ratio essendi, préalablement introuvable, et qu'elle n'existe que dans l'abstrait, non pas encore effective, une fois son espace temporant se forme dans la formalité de la loi dont elle s'invente, elle devient étrangement la sienne.

 

L'écriture offre à la pensée l'espace qui lui serait propre, certes entre autres, dont elle a besoin pour se temporer: la stèle en fut une, pour la pensée qui ne se pense pas encore et qui ne revient pas à la proximité du soi, devenue étrangère, sinon elle ne revient que pour y être ensevelie.

 

Et l'écriture offre une image de la pensée, dans un espace qui la précède ou devance, et en assure une certaine postérité, dans cet espace devenu apriori et formel; elle agit comme nous poéticos, mais elle en est sensible comme nous pathéticos; configuratrice des mondes, en offrant des Abstattungen.

 

Et le propos, l’affaire, la « sache » ou le fond de pensées, à travers les révolutions opérées en différentes époques, depuis l’Idée de Platon, res cogitans lié au Dieu cartésien, l'idée de la raison de Kant, problème d'ousia chez Aristote, la déduction des catégories chez Kant, et ce « mal radical » obscure qui devient la négativité qui travaille chez Hegel ; le problème du référent les divise!...

16.10.2020

La RévOctroyée du Monde

 

La RévOctroyée du Monde

 

Ego hic nunc, in a taxi station, at night, sorrow, épuisement et épanouissement, rien qu'une bête qui ausculte vos arrêts et brandissements cardiaques, de loin, par voie olfactive et subcérébral, par connivence occulte...

 

Le monde, tel que nous nous entendions quand quelqu'un ou nous, nous nous disions le cosmos, forte hypothèse qui s'enlise et entrave la question jamais demandée si l'obscurci n'était qu'un écran, à l'instar d'hymen, une mince pellicule étourdissante de moi & de vers toi, en soi.

 

Que Monsieur Novalis chérît le premier baiser come philosophique (je suppose à la lune mielleuse et croissante); c'est la thaumatzein tant attendue de nos profs de philo vieillissants, en quête d'Aha Erleblis et d'evreuka's dont on n'a jamais entendus parler qu'au passé conditionnel imparfait!

 

S'offrir l'un des plus beaux commencements sans se relancer sur l'idée de l'idée qui présupposerait rétrospectivement toujours une idée plus parfaite, ou un premier moteur qui chercherait son point d'Archimède, ni une idée d'infini qui serait plus parfaite que moi cogito et sans don!

 

Si j'aurais eu la possibilité de me donner comme tâche de passer à l'autre côté des choses, et avant tout, de moi-même, de me passer outre, et toujours à reculons, et ainsi pouvoir me croire à vérifier mon doxa comme la plus belle ortho-doxa de toutes prises de positions doxiques et thétiques.

 

Sans me déchirer, me diviser, me scinder comme Janus, à la fois comme moi-même et comme autre que moi-même, moi-même comme autrui, et espérer de pouvoir jeter un regard de sképtomena, de scépsis, et ceci sans une faveur divine ni un don de nature ou de l'histoire qui me privilégierait de ce lieu.

 

Aurais-je quelque chance de résoudre cette immense para-doxa, hors atteinte de toute doctrine, alors que toutes ont tenté de la surmonter dans des batailles draconiennes: que sais-je et que recherche-je dont je ne saurais rien et ne le reconnaîtra quand je l'aurai trouvé, hélas impossible!

 

On n'a que trop oublié ce qu'il nous revient à nous offrir non pas un monde mais un moi qui va l'amener à son achèvement non pas convenablement à son télos ou à son entéléchie qui nous aurait à attendre en sa fin qui nous est inconnue et à rechercher; mais mettre fin à sa "thèse".

 

Et on n'a que trop oublié aussi qu'en mettant entre parenthèse la thèse du monde (invariablement et dans sa différence de la réponse à la question si c'est le monde qui se pose ou c'est nous qui le postule), nous aurions dû avant tout nous mettre en suspens, nous épargner de son jugement.

 

Opération bien connue, quand on suppose le monde comme un animal-machine, une sorte de Léviathan qui dans son automatisme irréfléchi, cherche à nous infléchir, et nous, pas suffisamment forts de maîtriser quoi que ce soit que nos pensées: Àdieu la RévOctroyée du monde à l'avantage de la nôtre!

 

À vrai dire, je n'arrive pas à me décider ou à m'en concéder comme une grâce, un rayon vert, une illumination ou une prosternation affligeante d'un moine qui suit les traces d'un saint philosophant par coupure, sous couperet, le temps d'un rêve octroyé ou d'une révolution permanente!

 

Mais c'est de la phénoménologie "quantique des quantiques" pure! Après le 14ème jour ou phénomène observable l'observateur s'y inclut pour s'auto-réfléchir en tant qu'à la fois sujet et objet de l'observation d'une quasi-substance se transcendant son propre phénomène, par une intrusion toujours plus en extension, sur le lit de lierre de Khôra

6.10.2020

Histoire des maladies mentales

 

Une Longue Histoire des maladies mentales,

Contée courtoisement pour les gens séniles


 "tout délire est religieux"

 (Deleuze&Guattari)


Aucune autre époque n'était mieux préparée, et pourvue des concepts et d'une héritage historique, gardée et étudiée, donc maintenue en actualité et actualisations des nouvelles pensées, mais aussitôt, du même tenant, s'être sentie non concernée ou immune devant et par un désastre: une surdétermination aveugle ou un aveuglement surdéterminé!

 

Chaque époque a ses aveuglements, les siens propres, et ses schèmes d'explications, de rationalisations, de mystifications, ses purges, ses exorcismes, ses pratiques hystériques, ses alibis, ses coupables, ses juges, ses guérisseurs; rien de nouveau sur le front ouest-est de la différance: immobile de tout part!

 

Cette antinomie d'historicité qui annihile son concept (Histoire) ne fait pas partie des antinomies kantiennes; elle n'est pas non plus (de) "l'histoire (triste) de la raison pure". Sommes-nous alors des schèmes squelettiques, ombres d'une dance macabre, qui tient lieu et nie le deuil, dans son travail?

 

Oui je sais que l'homme veut seulement vivre, gouter du printemps, et ne veut aucun obstacle ni épistémologique ni moral, encore moins ontologique; c'est à nous de lui préparer cet Éden à une coute moindre pour lui, sinon gracieusement, gratis, à l'échange de, sinon une belle éloquence, une dance.

 

J'aurais été d'accord avec les thèses du monde où un Héraclite, encore qu'il eût envouté par je ne sais quelle déesse de la guerre, soit démocratisé par un poète, et que nous touchons le fond pour remonter à la surface des choses lisses, sans scandalon pour personne, qui ne renaît girard  de rien!

 

On est communément consentant d'ailleurs que soit lui ou un autre lointain qui eût été envouté et pas nous, oh pas nous, qui eussent été des démocrates par politesse hypocrite, et que la remontée nous eût été loin, la surface fût dangereuse, et personne n'eût été à l'abri de rien que je jacasse.

 

Le prolétariat comme abstraction d'un fait massif qui atteint outre toute classe sociale, tout entendement des choses, la choséité même, comme l'autoproduit de l'humanité, non par erreur, mais par un élan vital de s'auto-immuniser contre et  avec l'élément à mettre facilement sur travail!

 

Que la paranoïa soit une indigestion maladive de l'indigène (des petites villes et des villageois indigènes) qui s'étend, encouragée par le fascisme (science; Husserl, etc.), mille facéties de la schizophrénie se répandent chez les plus démunis ou la haute bourgeoisie déchue (poésie, décadence, etc.)

 

[Paranoya  (sapkın derecede takıntılı kişilik) sıradan bir kasaba hastalığıdır; köylünün yerleşiğinde, kentlinin de varoşunda yerleşir; faşizm zemininde genişler  ve orta sınıfı yutar (kamu, ilim, Husserl); şizofreni ise daha ziyâde roman veya yüksek ve  düşmüş burjuvazide görülür (tasavvuf, şiir, seks, vs.)]

 

Umut Özen :

« Personalite (Kişilik) ile Paranoya aynı şey mi acaba? Korkunç bir tez. Şöyle anlatılabilir; ‘Elbette kendimizi korumak için Paranoya olacak, yoksa hayatta kalmayı nasıl başaracaktık’, mesele Kuşkunun gerçekliği değil, Gerçeği. »

 

Atakan Yrlmz:

« Lacan'ın doktora tezi:

"Kişilikle İlişkileri Açısından Paranoyak Psikoz" twitter.com/lacancircle/st… »

 

*

Et la mélancolie ?

 

-Avant d'être démocratisée comme « dépression », elle était celle qui a le droit (leur lot) tout au plus, ou devrait être en apparence un religieux ou un poète élitiste, romantique; peut-être un épiphénomène, ou seulement le résultat secondaire d'un trauma qui empêche d'y voir claire et penser; devenue aujourd’hui simplement « ennui »!

 

-La mélancolie même généralisée dans l'époque hellénistique, était toujours élitiste, côtoyant l'ataraxie stoïque, même apathie, liée á la beauté innocente, au repentir, au délaissement cynique; étranger à la véhémence du pharisaïsme réconfortant ou vindicatif des marchands du temple.

 

-La paranoïa de l'homme en suspicion, passionné de supériorité persuasive, argumentant pour se réconforter et avoir une supériorité devant un peuplade soumise et convaincue, ce fut avant le cartésianisme, le rationalisme théologique de la philosophie islamique, dépassant pauvres frères dévots, soumis et les juifs.

 

-Le doute cartésien, qui est l'autre nom de vouloir une garantie supplémentaire (une raison pour croire; contraire du schizo: Credo ad absurdum) a ses précurseurs en philosophie  islamique, qui a la vocation de  dépasser la parano orientale par la suppléance logique, méthodique d'Aristote: syllogisme fidei (de la foi)…

 

-Ce qui n'empêche pas que toute théologie rationnelle soit une acte supérieure de la parano, à la fois dépassement d'un doute ou d'une incrédulité et l'accomplissement ultime de l'idéal parano qui hait le pauvre-déchiré-mystique-schizo en communication intime avec Dieu; la fin de la foi en foi!

 

-Malgré immense temps écoulé depuis eux jusqu'à nous, ces analyses ne manquent pas de prouver que nous nous en soyons soit des fades soit des aigues copies, et que la foi soit un épiphénomène ou résultat d'une prise de position, souvent sans choix; tel confort d'une impensée!



25.08.2020

Zincirinden Boşanan Sebepler...

("Eşref-i Mahkulât'ın Sebepsiz Müşerref olması...)

 

Dün:

Kötü bir çeviri mi?[1] Boş bir avukat sofizmi değilse tabii…

"Bir şeyin neden yapılmadığı için öne sürülen nedenler;

1) “o şeyin neden yapıldığı için öne sürülenler ile aynı sebep zincirinde yer almayabilir"

2)"o nedenlerin ortadan kalkması o şeyin neden yapılması gerektiğini açıklamaz" (Me)

 

MM:

“Benim anladiğim kadari ile, örneklendirmek gerekirse, kalkip camdan atlamamaniz icin gerekli nedenlerin olmamasi, kalkip camdan atlamiş olmaniz durumunu açiklamak icin yeterli değildir, diyor.

 

Çok irdelersek Méillassoux'nun "hiçbir şey yeterli koşul yaratmaz"ina kadar gidebilir.”

 

Me:

Hm tamam... Meillassoux daha kolay, Leibniz falan, hallederim herhalde...

Me:

"Camdan atlamıyorum, çünkü odada beni engelleyecek birileri yok; atlıyorum, çünkü atlamamak için bir neden (kişi) yok"

Bu bir avukat sofizmi...

Zira ancak ortada bir olay varsa birileri bu cümleleri ölen kişi (=bilinmeyen sebep) yerine, gıyabında kurabilirler (mahkeme, miras, vb)

MM:

“Ya da başka bir deyişle, bir barajin onune orulen duvarin kaldirilmasi, barajin arkasindaki suyun akmasi için yeterli bir sebep değildir, diyor (tabii mevzu baraj degil, insan; doğa, degil kultur olunca)

Stoacilarin nedensellik anlayişina çok benziyor.”

 

 

Bugün:

Méillassoux’ya bir soru*…

 

[Sebeple başladık (felsefeye), sebeple (istiareye) yattık, sebeple kalktık:

"Bir" sebebi olmalı dedik -Aristo bize 4 tane verdi.

Descartes,  bunlar fazla,Tanrı ve Ben yeteriz, 2 sebep 2 töz (res) oldu, cause efficiente başmelek oldu;

Leibniz geldi, efficience ok, ama olayın tikelliği "yeter sebep ilkesi!" ]

 *

Sebeple başladık (felsefeye), sebeple (istiareye) yattık, sebeple kalktık:

"Bir" sebebi olmalı dedik… Arkontlar, archontes, arkhès, arşive, yasaların sandukasına sahip olanlar… (Dört arkhe: Su, Ateş, Toprak ve Hava; ve bunların “hafızası”…)

-Aristo bize 4 tane (başmelek) verdi: Causa materialis, causa formalis, causa efficiens, causa finalis

Stoa geldi, “olayın tikelliği hiç de öyle gelmiyor, sebepleri sonsuza kadar uzatsanız, geriye götürseniz de o tikelliğin yasallığını bulamasınız, olmuş olmasıyla yetinin ve bunu kabul edin” dedi.

 Bu capcanlı animist dünya, Tanrısalların (déités) nüfuz edilemez görkeminin ürünüydü: herkes “eşref saati”nde, kendi “şeref”inde teşrif edecek şereflendirip gloire (bénédiction, inayet, providentia) veya malédiction (kargış, lânet, maudit) ile  müşerref olacaktı: tykhè (eutuchia, distuchia), amor fati, ataraksia, kadercilik…

Descartes, “bunlar (bu kadarı da) çok fazla, Tanrı ve Ben yeteriz” dedi: 2 sebep 2 töz (res) oldu (res cogitans, res essentia); bunlardan “cause efficiente” başmelek oldu, bu “sadece varolanı, varolduğu şekliyle açıklamayla yetinelim” demek; “esse est percipii”ye (Berkeley) varacak, ama zaten Parmenides’ten geliyor: varlık ve düşünce aynı şey…

Leibniz geldi (Descartes’in mesajını almıştı); efficience ok, “bebeğe göre elbise biçilecek”, evren çok geniş, sonsuza –matematiksel olarak-  kadar her yöne geri veya ileri götürülebilir (parallel ve birbirleriyle compossible olmayan evrenler tasarlanabilir), ama olayın tikelliğine bakacaksak sebepleri daraltırım, o bebeğe göre, hem tikel hem de genel olarak geçerli formel sebebe “yeter sebep ilkesi” derim (gerisiyle de uğraşmam) dedi. Bu aslında hem felsefe tarihini eskileri (Stoa) ciddiye alarak yeniden yazmak hem de mekaniğe anlamlı bir matematik temel vermek…

Ama bence Aristo’ya, başlanılan noktaya da geri dönmek, o da tikel olayı veya eşyanın tabiatını açıklamaya çalışıyor; eşya için causa materialis ve causa formalis başat olmak üzere 4 neden gerekli; zanaatkârın ürettiği eşya da causa finalis dar kapsamda da olsa var, seri üretimde de aptallaşmış bir intelligence artificielle’de de mathemata veya dionia’dan yoksun noétik içerikten belki de söz edilebilir; finalite, yön şaşırma, yönü sabitleme veya (içkin veya yatay) algoritmaya bağlama açısından…

 

İlk iki (maddi) nedeni saymazsak (ki avukatın veya pozitif hukukun”intihar eden veya pencereden itilen adam/kadın vakıasında ötesine geçemeyeceği alan burası),  efficient “vuku bulma”, suçun “subût” olup olmadığıyla alakâlı hale geliyor. Adamın kendini neden ve niçin öldürdüğü ile ilgili değil.

İçine nüfuz edilemez (bilinmeyen sebep), “causalité psychique” (dediği ve aradığı şey, Freud’un), açıklanamaz olan bence “korunuyor” veya hayalet gibi halâ ortada dolaşıyor: serseri mayın… chaos, veya cosmos’daki, tufanın tam kalbinde veya gözünde bulunduğumuz için farkedemediğimiz, sadece düşünüp hesaplayabildiğimiz chaos, veya felaket.

Varsaymamız, soruyu, sebep sorusunu, baştaki soruyu “açık” bırakmamız anlamında hala bir “şans” (fortuna)…

Descartes’ın, Tanrı dünyayı (doğa yasalarını) değiştirme gücünden yoksun mu sorusuna, zorunlu olarak “hayır değil, değiştiriyor, ama sürekli aynı şekilde yıkıp yeniden yaratarak değiştiriyor (création continue)” şeklinde parlak bir sofizm ile cevap vermekten başka şansı yoktu. Peki bu cevap, Nietzsche’nin “ebedi döngü” dediği şeyden ne derece farklı ki? 

(Bu da Méillassoux’ya bir soru olsun… Cevabını önceden kestirebilsem de…)



(*) Quentin Méillassoux: "Sonluluğun Sonrası", çev. Kaan Kahveci, İş Bankası y.

[1] “Bir şeyi yapmamak için gerekli nedenlerin yoksunluğu, o şeyin neden yapıldığını açıklamak için yeterli bir mazeret değildir.”

- moishe postone (alıntılayan Mechul Muhayyil)

22.07.2020

Réveil et Constatation -Descartes

Réveil et Constatation

Le 22 Juillet 2020, Réveil et constatation du petit matin (statement): non pas tout à fait "cogito ergo sum", mais: "J'existe encore -malgré/après tout/Tout- (et je me réveille pour me le dire, et qu'il ne me suffit pas de l'entendre de moi-même, et j'exige une confirmation du "tu") autrement que je pense.
 
J'existe -si cela s'appelle encore exister en langage humain ou si cela rentre encore dans ce qu'on appelle humainement exister, et cela par le seul fait étonnant -à vrai dire/autrement tonnant- que je pense chaque fois autrement, comme constat de mon existence, encore plus bizarre.
 
Et aussitôt que je pense, j'en reçois en écho de Tu, cet autre constat/réveil qui me répond: "A quoi te regrettes-tu que tu n'as jamais participé à l'existence, mais que tu l'as trouvé chaque fois comme évidence allant de soi, alors que tu ignores véracité des choses dont tu participe+
 
activement à l'existence et qu'elles auraient été sans existence si tu ne les avais pas conçu volontairement au lieu de les avoir reçu involontairement comme chose faite, alors qu'elle n'existait que pour toi seul, et que tu les aurais pris comme chose allant de soi, de l'existence
 
+dont tu n'avais pas encore suffisamment interrogée la véracité, mais seulement en apparence; autrement dit, reçu et conçu sans grâce ni étonnement", tonna en écho Dieu.

(FIN)

C’est-à-dire/ autrement que si cela n’est pas suffisamment interrogé, ni reçu ni conçu véritablement (par moi, ou par Tu qui me le permettrait), j’aurais encore –tout au moins, je l’espère- du temps de penser –et- exister (non seulement au sens intransitif du verbe (Logos),
 
+mais aussi et en même temps, si le temps me le donnait (ou si, le temps qui reste, m’en était donné), exister (ou faire être, transitivement) comme si cela ne m’était pas donné, -et ce malgré moi- au sens fort du Logos.
 
Encore et autrement plus bizarre que n'importe quel autre!


(*) Le soir du 21 juillet 2020
 
Metafizik adıyla sanıyla varken de insanlar engizisyonlarda canlı canlı yakılıyordu (delilerin kapatılmasında da -Foucault'nun bir SM olmasından çok- Descartes'in payı vardı), şimdi de -Metafizik, izi dışında yok olmuşken de- BİZİ Metafizik nedenlerle diri diri işkence ediyorlar.

Révision :
(Le matin du 22 juillet 2020)
 
Öteki tanıklıklar arasından, Régis Débray'in zamanında G. Amerika'da tutuklanıp hapishane deneyimini yaşamasından söz ettiği bir kitabında "kapatılma"nın onu nasıl daha da özgür kılıp yaratıcılık için zaman vermesinden söz ettiğini hatırlıyorum:
Beden kapatılsa da ruh özgür kalır!

Her yerde kartezyen ikilik…
*
 
"'Metafizik öldü' ifadesi metafizik bir iddia" önermesini "hâlâ" veya "henüz", "artık" zarflarıyla çeşnilendirsek de doğru kalır:
1-"hâlâ metafizik"=ne yapıldıysa ondan çıkılmadı;
2-"henüz metafizik"=ondan bir gün çıkılabilir/çıkılacak;
3-"artık metafizik"=şimdi Tam meta-fizik!

Metafizik adı verilen şeyin insanın düşünce faaliyetinin ürünü olduğunu düşünerek işin içinden sıyrılabileceğimizi sanmak yerine bizim düşünce adını verdiğimiz faaliyetin aslında (bir zamanlar) Metafizik adını almış bir "şey"in ürünü (yan ürünü) olduğunu düşünmek daha upuygundur (adéquate).


@zizudim

(Klasik) “Metafizik” adı verilen düşünce nihayetinde insanın düşünce faaliyetinin ürünü olan bir şey, ayakta kalmayı beceremiyorsa bu niye bizim umurumuzda olsun?.

Bizim Metafiziğin ölümünün umrunda olmamamızın bizatihi kendisi Metafiziği hem öldürüyor (=öldüren şey) hem de onu ölümsüz kılıyor [artık sorgulamadığımız bir şekilde- onun kendini bu dünyada başka şeye (=bu dünyaya, bilime, vb.) dönüştürerek], dokunulmaz kılıyor.