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3.04.2024

Accessoires de la mobilité -dédicacé à Aby Warburg

 

"Accessoires de la mobilité"

Auparavant il y a avait un genre qu'on appelait "humour juif", c'est dissipé mais il y aurait du reste. Il y a un genre persan ("mesnevî", "hamsé", etc) de narrer peu connu (Romantiques allemands en usaient): là tout fini est relevable à l'Infini, qu'on appelle la destinée: "Kader"

Moi, j'en use et abuse à volonté, à l'insu de mes neighbours, qui se disent "inhabitants", alors qu'ils habitent habituellement dans leur même habit; habitants où leurs vieilles habitudes leur habitent: Vieux us les véhiculent et se sévissent en bourgeon et se disent "riverains rivés sans ride!"

Chez moi, tout n'est pas relevable -au sens de (faire) retourner, (faire) virer- à l'Infini; à la limite "in-fino", oui.  Moi -Moïette ou ce qu'il en reste-chine ses particules (radicaux libres: phonèmes, morphèmes, sémèmes) dans la finitude (y compris les affaires de L'Infini) en débris.

Je plais de me dire tomber ou être viré à un monde (c'est selon, mais à mon sens, "le meilleurs") parallèle ou en voisinage à vôtre, là où il n'y a plus d'opposition (réelle) ontologique mais des contradictions apparentes qui résistent encore à mon travail d'horlogerie (réglage à/de chaosmos in-fino) ou de repérage (ne serait-ce qu’une énumération ou un bilan volumineux –« une répétition ontologique »- Summum).

Alors que je ne suis pas viré, ni qu'il n'y ait une Chute, ni la Déréliction, j'escalade les marches (toujours au bord ou à la proximité de la mort) soit horizontal soit vertical, mais souvent transversal, dans les lieux de repérage externe et interne, jour et nuit, dans le crépuscule et l'aurore; suis-je horripilé, enchanté et je repars.

Cœur brisé sans raison apparente, sans fait établi (mais un retable à l’arrière de l’Altar, de l’autel Stell, socle; accessoire, suppléants picturaux) sauf les dits (sous-dits, dédits, médits) et les gestes, j'affecte de réparer les autres cœurs de leurs inconsolables frénésies linéaires et binaires; j'éclate le diagramme (le plan d’immanence qui se trace sur le chemin) sur lequel je m'opère à contretemps.

Et je suis rivé comme mes riverains sont rivés, assignés à (viré d') un travail (Werk/ durc-Arbeit) au flot, à galop sans ablution, desséchés dans leurs branchements (brunch?), bouchés dans l'embouchure ou dans les embouteillages: sauf que mon retable, Ge-Stell ne me précède, ni mon Golgotha!

Je puise d'une autre source inépuisable, d'un puits sans pyramide, ou d'un tombeau sans cadavre; tout aussi frénétique, agité et mouvementé, en tumulte et épuisé comme mes riverains; mais en me détournant de l'inconsolable (lequel ? fini ou Infini ?), je ne me suis attaché à aucun fini. Je suis au galop (flot) de l'illimité.

Qui sait? Peut-être le fini est plus tumultueux (Qual/ quelle de Boehm) que (dont) le présumé Infini (est simulacre). Assumons le fini-illimité dont on ne finit pas; restons à la surface des simulacres  et de ces "accessoires de la mobilité" (bewegtes beiwerk) d'Aby Warburg (Ce poème en prose soit dédicacé à lui!).

Donc un « accessoire » qui sert à depict (Ang. décrire ; suggérer) serait la « ratio cognoscendi » du kinésis (du mouvement) dans la vérité de la peinture (selon Aby Warburg[1]) ; mais à plus forte raison, ce (description en mouvement –kinésis- dialectique, querellé, en conflit et en mobilisation de guerre de toute la Cité –mais toujours dans la dialogue et dans l’inanité du livre, de celui qui écrit, donc de Platon, enlevant tout ce qui serait « frappé d’inanité », oublié ou devenu caduque, usless, nedless, dans l’acte de graphein) serait selon Socrate, le seul moyen effectif, c’est-à-dire, l’essence de la dialectique, par laquelle la vérité s’offre à nous, non dans toute sa nudité, mais  avec cette nouvelle révélation qui se montrerait en se cachant.

 

Le 3 mars 2024



[1] La Peinture, Masque et Miroir, Jean-Marie Pontévia, éd. William Black and C., Bordeaux, p.  45.

20.04.2021

De Chôra à la Différance

 

Le 19 Avril 2021

 

De Chôra à la Différance

Grand Crible

« C'était son heure alors, celle du sablier, du grand crible... »

 

*Is the word indifferance here intended as a Derridean play on words? (@the_nust)

Il y a des nuits (comme celle-ci) où toutes les vaches sont (semblent être) grises, mais on sait (aperçoit) qu'elles ne le sont pas en faite. La différance précéderait (toujours) ontologiquement l'indifférance, alors que celle-ci la précède, dit-on, épistémologiquement, comme après-coup.

*Ontological indifference/indifferance - is that a thing?

Certainement pas. Il me semble que la différance est le nom de ce qui précéderait avant tout cette distinction entre l'ontologie et l'épistémologie. Mais en quoi elle n'est pas (ou en deçà de) l'ontologie, est un mystère, que j'essaie d'entamer par Méontologie (lui, par H'antologie).

 

La différance ne peut en tout cas d'avoir un contraire (elle est déjà et d'avance contrarié en elle-même), comme "indifférance". Mais elle est lieu même de toute négation possible, zone d'indifféran.c/t.iation, une mêmeté qui se contredit dans son espacement-temporal; divisionnaire.

*Lovely. Differance as a zone of indifference - now that's something.

Un aveuglement nécessaire, par trop de lumière, ou "masse" indifférenciée (crue), comme le lieu de différentiation (modelée encore -par quelques améliorations rhétoriques-  sur la "Chôra", dont Hegel a su exploitée le principe de sélection, du "grand crible", par la "négation").

 

5.12.2020

Notre non-réponse à l’incommensurable –II « Sans et Sauf »

 

Notre non-réponse à l’incommensurable –II

« Sans et Sauf »

 

"Zaman dama taşı süren bir çocuktur" (Herakleitos)

Buna küsebilir misiniz? Ya da Heraklit'in bundan haberi olur mu? Çocuğa küsemezsiniz... Her şey zamanla "ikonludur"... (eikôn : image)

 

« Le temps est l’image de l’éternité » (disait-il, Platon) :

Ce que tout ce qu’ils puissent comprendre et saisir du temps, n’est qu’une image (eikôn) captée –plus ou moins fidèle- par (ou tombée sous) leurs sensibilités, fort diverses et limitées, de ce qui est de toujours (aiôn), c’est-à-dire de l’éternité.

 

« Le temps est le nombre du mouvement » (disait-il, Aristote) :

Ce que tout ce qu’ils puissent percevoir du temps et le saisir tel qu’il leur est imparti, c’est de suivre quelque chose qui bouge, en kinésis dont l’a-rythmie de ses itérations et de ses allers-retours leur donne une sensation du temps.

*

 

S'il y a du temps qui empêche de rabattre les choses, les unes sur les autres et de les écraser au lieu de laisser apparaître l'apparaître des choses, c'est qu'elles s'espacent partes extra partes vers un point de fuite à l'horizon où l'espoir et l'attente les constituent comme convergentes.

 

Si d'un écho stellaire, qui reste encore à expliquer, à l'autre bout de faisceaux de convergences, dans les plissements espacés, striés d'un espacement, se font des nœuds de divergences, les singularités errantes ou cumulées en agglomérats momentanés et mortels, comme récepteurs aveuglés,

 

c'est qu'elles obéissent d'abord aux mêmes lois s'espaçantes, dans leurs disparités qui constituent et assurent à même leurs droits à vie, dans les nids et abris en creux d'une main dont la donation se fait attendre par la partialité des réceptions conditionnées à l'apparaître en retrait.

 

Alors que tout s'espace dans une distance relative et respectueuse, qui les empêche de s'écraser, les choses et les singularités se glissent vers un abysse où rien ne les empêche, malgré toute résistance de la matière brûte, et du vouloir dans son entêtement, où le désire s'abîme dans le creux.

 

D'où le tâtonnement et le cri de la matière dans l'arythmie colossale dont le véritable site est comme manque par anticipation prévoyante et l'excès de laves en baves où ruine et se déchire toute articulation de la voix comme tombeau et résidu endetté sous l'ouverture du ciel à quatre vents.

 

Si l’un jour sous le ciel, encore en vie terrestre, l'humanité comme témoin et l'objet de cette énorme convoitise qu'est la vie se décide d'une Entschlossenheit décisive, comme l'issue d'un suprême appel de la conscience morale attisée d'un commun vœu, se mettrait nue et s'agenouiller devant le « sans et sauf »…

 

 

4.12.2020

Notre non-réponse à l’incommensurable

 

Notre non-réponse à l’incommensurable

 

"Nothing in all creation is so like God as silence."

Meister Eckhart[1]

 

Tel est le rien de part en part et sans limite qu'est tout l'Univers, dans sa non-réponse; dé-couvert étendu dans son infinité silencieuse, qu'est aussi notre seule plénitude dans sa splendeur en répétition de ses lois en variation eidétique, enfouie, en écho au Dieu caché en son silence.[2]

 

Il y est bien apparu une Scission primordiale et qui y est restée depuis, se reproduisant chaque fois sans pareil, ni de parité ni tableau d'équivalence générale auquel à ajuster, sans un correcteur et guide, immergé dans une symétrie hallucinante et la bipolarité tridimensionnelle…[3]

 

Somewhere, sometimes, someone's willing something in its grammatical turn, in very reproducibility by différance of sameness of I, in its diversity identified to the eyeness of metaphysical act of saying that, this, out there, nowhere, ought, maybe, perhaps, happening, must be again pronouns.

*

"Le temps est l'image de l'éternité" (disait-il, Platon) :

Ce que tout ce qu'ils puissent comprendre et saisir du temps, n'est qu'une image (eikôn) captée -plus ou moins fidèle- par (ou tombée sous) leurs sensibilités, fort diverses et limitées, de ce qui est de toujours (aiôn), c'est-à-dire de l'éternité.

 

« Le temps est le nombre du mouvement » (disait-il, Aristote) :

Ce que tout ce qu'ils puissent percevoir du temps et le saisir tel qu'il leur est imparti, c'est de suivre quelque chose qui bouge, en kinésis dont l'a-rythmie de ses itérations et de ses allers-retours leur donne une sensation du temps.

 

*

Varlığı ancak oluştan bilebiliriz, hakikati de inançtan itibaren.

Yani ikisini de kendinde ve kendi içinde bilemeyiz.

Biz varlık ve hakikati konusunda oluşa tâbi bir inanç içinde kalmayı sürdürürüz :

Oluş/ Varlık paydası

İnanç/ Hakikat paydasının varlık,

sonuncusu ise bilinebilirlik sebebidir.

*

Anlam ve Ardışıklık: Aklın aşkın bir fantazisi mi? Olayların birbirini izlemesinden sentetik bir neden-sonuç ilişkisi çıkaran gündelik tembelliğindeki aklın içkin yanılsamaları mı? Zamansal ardışıklığın anlamın 164 karaktere bölünerek oluşmasına evet diyenler bağlılaşık kopuşa da evet demeli!

*

"Gibi", "misâli" kelimesini şiirde yasaklamak şiir için küçük, insanlık ve düşünce için büyük ilerlemeydi. Düz yazıda da "vb." zaten boşvermişlikti, kalktı; ama o "pedagojik" analojiler, kıyaslar, karşılaştırmalar, mukayeseler de kalkınca, bakalım nasıl bir dil icat olunmak zorunda?[4]

*

"Üçüncüsü"...

O zamanlar 'yazın'da diyalektik böyle çalışırdı; "iki" verilir, "üçüncüsü" okuyucunun sentezleme gücüne bırakılırdı; ve biz buna 'diyalektik şiir' adını verirdik ...

(Roland Barthes, "Eisenstein'ın Kurgu Anlayışı", Dziga Vertov; "Şiirsel Gerçekçilik, Adalet,vb...)[5]


*

 

Quand nous nous y posions dans la fraîcheur d'une pulsion élémentaire d'écriture précoce comme réponse à ce que nous y voyions et entendions de venir par force sans et avant même de l'y postuler d'abord par la curiosité théorique, qui aura pris là-dessus, le siège observateur de notoriété,

+nous y étions d'abord des victimes d'une époque, d'une fin et d'un commencement d'une chose; déchirures qui se fragmentent comme dates de naissance et de petits morts; tourmentés, dont nous y étions des avant-gardes, et des déchus et des faux-fuyants, échappatoires, réserves, des non-réponses dues…

 



[1] Cité par @anteruina

[2] Notre réponse à @anteruina (le 30 Nov.2020)

[3] Réponse à @Fabiensapiens (le 4 Déc. 2020)

[4] Relatif  à ”Garip Şiiri” de Melih Cevdet Anday.

[5] Une réponse à Kaan Kahveci.

16.10.2020

La RévOctroyée du Monde

 

La RévOctroyée du Monde

 

Ego hic nunc, in a taxi station, at night, sorrow, épuisement et épanouissement, rien qu'une bête qui ausculte vos arrêts et brandissements cardiaques, de loin, par voie olfactive et subcérébral, par connivence occulte...

 

Le monde, tel que nous nous entendions quand quelqu'un ou nous, nous nous disions le cosmos, forte hypothèse qui s'enlise et entrave la question jamais demandée si l'obscurci n'était qu'un écran, à l'instar d'hymen, une mince pellicule étourdissante de moi & de vers toi, en soi.

 

Que Monsieur Novalis chérît le premier baiser come philosophique (je suppose à la lune mielleuse et croissante); c'est la thaumatzein tant attendue de nos profs de philo vieillissants, en quête d'Aha Erleblis et d'evreuka's dont on n'a jamais entendus parler qu'au passé conditionnel imparfait!

 

S'offrir l'un des plus beaux commencements sans se relancer sur l'idée de l'idée qui présupposerait rétrospectivement toujours une idée plus parfaite, ou un premier moteur qui chercherait son point d'Archimède, ni une idée d'infini qui serait plus parfaite que moi cogito et sans don!

 

Si j'aurais eu la possibilité de me donner comme tâche de passer à l'autre côté des choses, et avant tout, de moi-même, de me passer outre, et toujours à reculons, et ainsi pouvoir me croire à vérifier mon doxa comme la plus belle ortho-doxa de toutes prises de positions doxiques et thétiques.

 

Sans me déchirer, me diviser, me scinder comme Janus, à la fois comme moi-même et comme autre que moi-même, moi-même comme autrui, et espérer de pouvoir jeter un regard de sképtomena, de scépsis, et ceci sans une faveur divine ni un don de nature ou de l'histoire qui me privilégierait de ce lieu.

 

Aurais-je quelque chance de résoudre cette immense para-doxa, hors atteinte de toute doctrine, alors que toutes ont tenté de la surmonter dans des batailles draconiennes: que sais-je et que recherche-je dont je ne saurais rien et ne le reconnaîtra quand je l'aurai trouvé, hélas impossible!

 

On n'a que trop oublié ce qu'il nous revient à nous offrir non pas un monde mais un moi qui va l'amener à son achèvement non pas convenablement à son télos ou à son entéléchie qui nous aurait à attendre en sa fin qui nous est inconnue et à rechercher; mais mettre fin à sa "thèse".

 

Et on n'a que trop oublié aussi qu'en mettant entre parenthèse la thèse du monde (invariablement et dans sa différence de la réponse à la question si c'est le monde qui se pose ou c'est nous qui le postule), nous aurions dû avant tout nous mettre en suspens, nous épargner de son jugement.

 

Opération bien connue, quand on suppose le monde comme un animal-machine, une sorte de Léviathan qui dans son automatisme irréfléchi, cherche à nous infléchir, et nous, pas suffisamment forts de maîtriser quoi que ce soit que nos pensées: Àdieu la RévOctroyée du monde à l'avantage de la nôtre!

 

À vrai dire, je n'arrive pas à me décider ou à m'en concéder comme une grâce, un rayon vert, une illumination ou une prosternation affligeante d'un moine qui suit les traces d'un saint philosophant par coupure, sous couperet, le temps d'un rêve octroyé ou d'une révolution permanente!

 

Mais c'est de la phénoménologie "quantique des quantiques" pure! Après le 14ème jour ou phénomène observable l'observateur s'y inclut pour s'auto-réfléchir en tant qu'à la fois sujet et objet de l'observation d'une quasi-substance se transcendant son propre phénomène, par une intrusion toujours plus en extension, sur le lit de lierre de Khôra

26.09.2020

Éclaircissements des Systèmes

 

Éclaircissement de toutes

les Systèmes de Philosophie,

de ses premiers aux derniers principes

 

Propédeutique :

Si la psychanalyse, avant d'être une thérapie, elle était un décodeur actif qui recevra ce qui arrive au rapport sexuel après tant des avatars (Éros, philia, amour courtois, fiançailles, polygamie islamique, esclavage, s.m, perversion,) pour évaluer l'impact sur zoon politikon.

 

Là où le semblant de code (Sittlichkeit historique est le domaine de l'anthropologie) ne sert qu'à décliner l'acte d'en faire la joie, subitement abolie, dans la déviation subversive (Un, Dieu) en aire capitalistique; cet erreur capital ne se consume qu'à discrétion dudit Un, subi!

Retrait

Dieu supposé de savoir ou omniscient, position du ex-père (totémique –Freud), éperdument en/par manque d'effronté; chimère jusqu'à la jouissance hétaire, et codée par Solon, adulée par le Juif, supprimée dans la fête du salut par le Maronite, ingurgitée par Mohammed, recueillie en insouciance par les Lumières !

*

Anecdotique :

Professor says:

"Think Fichte !"

"and now, think him who thought Fichte=Fichte !"

and they thought other things but together...

*

“Ben Üçüncü Hâlim,

Yeryüzü Padişâhı...”      (Fazıl Hüsnü Dağlarca)

 

“Ve ben;

İnsanın dördüncü hali

yalnızlık. »                         (Murat Demir)

 

*

Analytique :

Que quelque chose de l'ordre de l'évènement (avènement), donc coupure, rupture, bouleversement dans un procédé qu'on nomme imparfaitement, quoi qu'on en prend acte et laisse trace, manque á son idée, ce n'est pas accidentel, mais c'est parce qu'il est inscrit á l'infini historique d'une (para-)praxis.

 

Ce qui m'effraie le plus en ce qui concerne l'infini qu'on compte parmi les idées mathématiques, s'il n'était justement que le concept de quelque chose du genre, une galaxie (« une île de ciel »), qui ne serait –au fond- qu'un schématisme de l'imagination, tournant en rond comme une bande de Moebius.

*

Sympathique :

Ce qui m’effraie au fond une possible représentabilité irreprésentable de l’infini, ou plus précisément, l’irreprésentable de l’infini, quoi qu’elle effraie nous embrasse tranquillement dans son embrasement du genre « éternel retour », sans que nous nous en soupçonnions, sans en être averti ni avisé,

[« ô vous les humains, vous n’êtes que des fades copies de ce qu’on aurait cru d’antan », Nietzsche]

dans l’apparence de la droiture de nos objections ou dans les falsifications au cour de l’expérience de nos adhérences, nous redressant calcinés, dans le choix de nos goûts, dans ses arrangements les plus inattendus, dans la servitude insoupçonnée de ses exigences pourtant minimes, même négligeables.

Stoïques en savaient surement quelque chose après Platon, le sort [de chaque philosophie ]et le lot de chaque philosophe, et également  celui de Nietzsche, ne serait-ce que ce soupçon de l’éternel retour fait de lui, un animiste alerté, jusqu’à cette croyance ou ce soupçon de Derrida,

Jusqu’à la superstition de lettre logée au cœur de chaque  substitution et de substituabilité : une infini innommable mais reconnaissable d’une logique de « supplémentarité » qui ne fait que différer l’origine, le noyau, le commencement et bien sûr la fin, la déchéance…

Mais aussi « quadriller de la représentation » (analogie, similitude, ressemblance, opposition) déniché par Foucault…

tournant en rond, tournant en rond comme sur une bande de Moebius, alors qu’on est enchâssé  au milieu « neutre » d’une quadrificum (carrefour ; et aussi la croix), avec ses effets triangulaire (amour, aimance, symbole, fétiche, X, khi, şey, Sache, chose, perte et ses retrouvailles ; Fort/Da !),

dont le « tiers » (du célèbre Pythagore, trigonométrique) joue passagèrement le « rôle » d’idée (propre de chaque chose, manque à son propre par rapport à ses « deux » autres, dont l’un est « ami » et « connu », et l’autre « ennemi » et « pas encore connu », ou l’absolu (le Tiers) se laisse à désirer (=le Système) !

 

De Menon à Picasso : « je ne cherche pas, je trouve » !... Nous sommes des pauvres esclaves de Platon… Et ce –néant- « depuis le premier Neandertal », le premier acte de (se) poser, et avoir l’incline de s’y reposer (clinamen toujours plus intéressant que conatus), et d’y voir ses exactitudes et ses falsifications toujours mieux en mieux vérifiables…

Qua comme qua… Partes extra partes… Ad hominem, également valable pour une fourmi qui se promène en bon péripatéticien sur une bande (branche d’arbre) passagèrement Moebius. Récalcitrante !