Mavi Süvari’nin keskin gecede Anadolu Selâmı…
(Une soirée du “Mavi Süvari” fulgurante Heilige Anatolie)[1]
"iŞTE şimdi Hapı yuttuğumuzun
günüdür", murmura-t-il.
"Car Nous avons perdu la langue à
l'étranger" (H.[2])
mesme "car", (khrè[3])
grecque décourageant nous au moindre superlatif comparatif catégorique vide
vide...
Nous, nus, "eprimek", “öpmek”,
“ölmek” dans l'empreinte du sceau de Dieu
Y a “mains”, des mains partout dans la langue
Et l'étranger les a vu attachés ombres mur
emmuré de silence du mot,
a souflé aux mots maudits le Soir
voir jaillir du mot prêtée la main
car, zirâ, çünki, ve izâ izleke ve arap ezânı
ohne Warum
-mais aussi en langue métèque ohne
Warhum-Warh-gar(e)- de Warheit-
vient
sans Prince du jour Diurne
(Prince de causalité conjonctive qui manquerait
au Nomade
Le chercher dans sa langue de Frère, Brader,
Fratrie Persane)
Alors quelle différence entre une mulette et
une amulette, et une “femme à amulette” (femmelette) d'Arménie?
b*tail, ic^ne, ou é*ouse du Soir...
couchée sur la table d'accouchement sur le
Divana de Diana sans identité, sans prêtée la voix,
Et sans une murmure des longues haleines sur
les maquis du Soir
Où l'on voit venir, tant attendu les nuits
couchant
-Mor
Sipâhî-
comme un Dieu-Homme tonnant à sa guise de réponse
à ma non-réponse...
"Der
Blaue Rietter" en tout son éclat et en toute éclaboussure bleuâtre
d'ombrées des minéraux des Collines
d'haut du soir vers les Rhins de Rhénanie...
Et qui en tirait le harnais de l’attelage de ses Reins de
Kızılırmak, tête toute en rouge surélévée...
A qui demand-t-on parmi ses fils élevés auprès
-“besleme”, “yanaşma”, orphélin adopté d’une
nuit-et-six-siècles…
à cette étrange figurines en flèche du temps
toujours vers nous, tout en nus.
Quémandeur eunuque de Sultanat…
Restant bouche-bé
La réponse de Dieu tonnant sur sa selle pour
vous seules:
"Der Tod ist..." en réponse d’écho
à “Der
Gott ist…”
N'ayez peur! C'est du vent du Nord: Karayel!
Passera, seulement votre Herrschaft passera
-d’ici à Voyvoda, par là Pavlonya…
qui vient chaque retombée de nuit, Hécatombe nuitée
des bleutés
pour vous décimer seulement décade par décade
de par où tous les Meister's en constructions
de Catédrales d'Ani et d'Ararat, s'affaireront...
mille ans plus vieille que Toi, ô nu
quémandeur !
De par où, dolaylarından, aus die heilige Deuschland!...
De père Nicolas, sans fadeur d’Auto Fa De publicum en éclat ouï
l'Etérnel Amy et frémissant du soir des clochers
de longues haleines de Belle Hélène...
comme dans un “h” inspiré par tes bouches…
ré-baptisant moi en gueuse marécageuse enseveli…
là où Turnam retourne à Balkanie…
(Poème
trilingue inspiré par P. Ballanfat)
Le 25
déc. 2019
[1] Alors que le chevalier
fulgure et non salue l’Anatolie dans une nuit fulgurante, la traduction dit qu’il
fulgure Anadolie Sacrée, alors qu’il ne la salue mais seulement fulgure, et de
par lui que la nuit devient -est nommée- “fulgurante”, alors que l’Anatolie n’est
pas sacrée sans son acte, etc.
[2] Hölderlin
[3] De la traduction heideggerienne
d’un fragment de Parménide (“Car une seule et même chose penser et être”); noésis, esti, énaï...
[4] Niçinsiz ama ölüm…
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