Déjà-Vu,
Déjà-Dit, Déjà-Averti
(Mene Teke Ufarsim)
(Mene Teke Ufarsim)
Déjà-Vu,
Déjà-Dit, Déjà-Averti
Que
ce soit de l’organisation “unitaire” des sciences appliquées –qui laissait
désirer depuis Hegel- et qui avait été menacé par la théorie de relativité
d’Einstein et du principe d’indétermination d’Heisenberg, et que ce soit de
l’organisation de nouvelles luttes de forces émergeantes (avant la
micro-politique, l’essais de “bloc hégémonique” de Gramsci avec les catholiques
socialement chauffés) sous la Forme-Parti (P.C.), était faussée d’avance par
les cinglés impudiques de Prague et de la Hongrie, tout semblait au feu
d’artifice (Guerre d’Algérie en Paris) et aux châteaux de jeux de cartes
wittgensteiniennes, et tout était dès lors permis après Auswichz, de Hiroshima,
des essais nucléaires en Océanie, du 11 sept, de Guanténamo, de la Guerre de
Golf, dite “les nouvelles croissades”, après Brejnev, Condélisa Rice, Powel, et
avec Orban, Erdogan, Putine-Esad, Trump, Macron (Giscard d’Estang), Hu Yang
Ping, etc. comme aujourd’hui…
Tout est à reprendre dans une Passion
moyenagesque en théâtre de temps “ré-volus” en Avignon en musique sérielle défistôlée
de Mephistoteles…
Maintenant
les Bastilles n’étant plus des lieux précis, mais l’ensemble des frontières de
l’Europe jusqu’aux déserts des Tartares, et
le Brexit rendant encore plus perméables avec les İles-de-Man, les zones
de libres échanges, des “privilèges”, des zones d’exception à la Agamben,
Hambourg-Chine-Afrique, etc. pour babéliser encore tout ce qui reste pour les
nostalgiques de la “Belle Époque” husserliana, ou son anti-dote James Joyces,
les sciences en des miettes kierkegaardiennes de littératures sans par-chemin
des “databases” infiltrées, dans la sibernetique des “objets” truqués par l’algorithme
et qui nous est re-vendus…
Et qui a peur maintenant au fond de l'hermeneutique? Sauf Dieu?
(Sauf lui, qui n'aurait peut-être pas préféré ("I would prefer not...") se voir compris enfin par "nous"-unis, et de son côté, lui non plus, dans une identité unie et personnifiée -ne serait-ce que, étant considéré, sinon l'auteur, comme le référent indemne, noématique et centrale d'un certaine nombre de signes et des commendements, sûrement mal entendus, mal copiés, mal taillés sur les murailles des par-chemins, jusqu'à ses prémières hésitations d'hypostases non pas interstellaires, mais concurrentes avec les déités des voisinnages...)
[[Bon, ces lignes peuvent se faire signer par plusieurs signataires, depuis Hegel, Hölderlin, Schelling, Heidegger, Derrida, Deleuze, moi, etc. pour faire signaler une réitération insistante qui fait la marque de la différence jalousement gardée, alors qu'elle ne se fait que carnavalesque et redondante dans ses convulsions rondes et dançantes et en dispersante ce qui s'y garde jalousement çömme un idôle sans vie qui tombe après avoir été chauffée à l'incandescence dans des processions tétaniques de vas-et-viens... Et c'est là (environs, proximités, ruines) le site (archéoloique) et le théâtre (dechu et déserté) de toutes les théologies dont nous avons tout perdues sauf les théologiens ocellés (et bien payants -payés- dans des fondations des universités américaines ou autres) eux-mêmes, en studium serieux -j'espère- comme ceux de Roland Barthes et de Pierre Klossovski: Sade, Fourrier, Loyola, par exemple... Mais il y faut ajouter des femmes sages, sage-femmes, des Phyties africainnes...]]
Quant à moi, quant à notre "nous"...
(Sauf lui, qui n'aurait peut-être pas préféré ("I would prefer not...") se voir compris enfin par "nous"-unis, et de son côté, lui non plus, dans une identité unie et personnifiée -ne serait-ce que, étant considéré, sinon l'auteur, comme le référent indemne, noématique et centrale d'un certaine nombre de signes et des commendements, sûrement mal entendus, mal copiés, mal taillés sur les murailles des par-chemins, jusqu'à ses prémières hésitations d'hypostases non pas interstellaires, mais concurrentes avec les déités des voisinnages...)
[[Bon, ces lignes peuvent se faire signer par plusieurs signataires, depuis Hegel, Hölderlin, Schelling, Heidegger, Derrida, Deleuze, moi, etc. pour faire signaler une réitération insistante qui fait la marque de la différence jalousement gardée, alors qu'elle ne se fait que carnavalesque et redondante dans ses convulsions rondes et dançantes et en dispersante ce qui s'y garde jalousement çömme un idôle sans vie qui tombe après avoir été chauffée à l'incandescence dans des processions tétaniques de vas-et-viens... Et c'est là (environs, proximités, ruines) le site (archéoloique) et le théâtre (dechu et déserté) de toutes les théologies dont nous avons tout perdues sauf les théologiens ocellés (et bien payants -payés- dans des fondations des universités américaines ou autres) eux-mêmes, en studium serieux -j'espère- comme ceux de Roland Barthes et de Pierre Klossovski: Sade, Fourrier, Loyola, par exemple... Mais il y faut ajouter des femmes sages, sage-femmes, des Phyties africainnes...]]
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Quant à moi, quant à notre "nous"...
On nous inculque (le référent est étranger, nommé Olivier Chartier, l'ex-étudiant de Paul Ballanfat, fraîchement débarqué comme un colonnel à Constantinopolis, en l'an environ 1999, nous donne une leçon dans une cave de Pera -mémoire précieusement gardée par moi et peut-être par la compagnie -Z.D.) que nous avions une tradition d'hermeneutique déjà "phénoménologisante" (mais fortement islamique aussi, malgré une large connection avec toute étendue de "la Bible" -bibles-) jusqu'aux légères variations éidétiques (hérésies?), de Muhiddin el-Arabî, lui-même reconnu dans tout soufisme et représenté par plusieurs exégètes locales (ottomanes) et traductions de son oeuvre ici (Konévi, Kayséri, etc.), selon les siècles,
// -ici le cours présumé d'"inculcation" se termine, et je rajoute des arguments nolen solens pour élargir l'horizon de recherche //
mais cela n'a jamais empêché que les chercheurs d'un nouveau type de la jeune république laïque, nommé par l'étranger "la Turquie", fondée en 1923, n'allèrent dans les années 30-40 en Allemagne pour étudier directement les manuscrites de Husserl dans les archives sur place. Et de ces années-là, jusqu'à ici, l'autre mémoire (celle des études Muhiddiniennes) était ruinée ou se refugiée dans le cercle restreint des exégèses en perdant l'aspect métaphysiquement philosophique, sans qu'on puisse faire une etude comparatives, non pas entre les siècles mais des clivages paradigmatiques enormes. Mais, une telle etude venue du Japon, par Isoutzou (La comparaison de Taoisme et d'al-Arabî), par un ex-étudiant d'Heidegger (cf."Lettre à un ami japonais")...
// -ici le cours présumé d'"inculcation" se termine, et je rajoute des arguments nolen solens pour élargir l'horizon de recherche //
mais cela n'a jamais empêché que les chercheurs d'un nouveau type de la jeune république laïque, nommé par l'étranger "la Turquie", fondée en 1923, n'allèrent dans les années 30-40 en Allemagne pour étudier directement les manuscrites de Husserl dans les archives sur place. Et de ces années-là, jusqu'à ici, l'autre mémoire (celle des études Muhiddiniennes) était ruinée ou se refugiée dans le cercle restreint des exégèses en perdant l'aspect métaphysiquement philosophique, sans qu'on puisse faire une etude comparatives, non pas entre les siècles mais des clivages paradigmatiques enormes. Mais, une telle etude venue du Japon, par Isoutzou (La comparaison de Taoisme et d'al-Arabî), par un ex-étudiant d'Heidegger (cf."Lettre à un ami japonais")...
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Ces études m'interessent sans qu'on n'y voie pas (ne pas pouvoir n'y pas voir) forcément une fête de répétition borgésienne (créative, sic!) de l'histoire des idées leibnisiennes, conjonctives ou disjonctives, compossibles et/ou imcompossibles dans le méandre d'Abenland (Hölderlin) et de l'Orientum Versus (Paul Valery), dans notre échiquier de l'histoire qui n'appartient à personne...
Cela est baroque et pas puritain, et cela "libère" (au sens d'Allemand de Freied, "passifie-et-libère"),et non pas uniquement pour former un bon croyant (ni citoyen, ni étudiant avisé) indemne, car dans le concept même de l'hermeneutique, il y a des "cercles" qui s'élargissent, sans que toutes les lignes virtuelles nous reviennent pour se capitaliser en Université, en Savoir Absolu, en dogme, ou en bon exégète...
Elargissement est principiel, et l'autre nom peut-être de la "dissémination", quoique devenue un peu artificielle, dépassant les limites la cartographie schizophrénique des Etats-Unis -par exemple- de Gertrude Stein en phraser...
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Le combat actuel se manifeste dans l'incommensurable mesure de cette proximité et de distance qui déterminérait les courbures des cercles concentriques ou discentriques, mais pas égaux, contrairement à la définition d'un cercle, dont, selon l'axiome, le centre aurait toujours une égale distance des contours à parcourir: et ceci n'est pas vrai depuis pas mal du temps en l'épistémologie, pour autant que Duchamp, Lyotard et moi, nous ayons eu beaucoup de temps à nous familiariser avec ce qui est étrange.
L'idôle dans sa lointaine vaut mieux pour être contempler que dans dans un Temple artificiellement austère...
Pour les figures de rhétorique, je complète en illustration mon récent livre "L'Histoire à Gevherî"...
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(l'affaire en question:)
Ma première question qui était adressée à toi, était née de cette certitude un peu pré-jugée peut-être (pour ainsi dire, j'ai voulu m'expliciter un peu ici, dans terraine neutre): (je me cite)
Moi :Pauvre exégèse dominicale du
puritanisme austère (version juive et blanchie du christianisme nordique)
accédée à la science philosophique vous rend-elle tellement indemne, immune, d'indifférant,
d'imperméable, de non-ingérante, multi-culturelles et réligieuses, mais
nationalement tous unis?
(au lieu de cela, ceci aurait pu suffir largement:)
1-
Que ce soit de l’organisation
“unitaire” des sciences appliquées –qui laissait désirer depuis Hegel- et qui
avait été menacé par la théorie de relativité d’Einstein et du principe
d’indétermination d’Heisenberg, tout était faussé d’avance et tout était permis,
avec un méta-récit de plus de l'histoire de la science.
(mais, ceci était en reponse à cela sulfireux, humiliant, "d'un ton de grand seigneur", blanc-missonnaire:)
Toi: I
think Derrida just has a stronger connection to the hermeneutic tradition? Not
really sure if Deleuze has much hermeneutics in him.
(Et je rajoute aujourd'hui en restant dans la tradition assidue de ladite hermeneutique:)
Une "stronger connection" comme une pointe centrale (hook, "point de caption" chez Lacan) pour fixer un navire en naufrage en mer ne suffirera pas pour vous/ nous sauver. Ce point est textuellement "idôle", et même Jonas, -textuellement- enfermé dans le point central du navir, n'y croyait sauf le rien et l'obscurité pour pouvoir croire à se cacher, sans pouvoir empécher les accusations impies des autres marins contre lui, également naufragés dans le même navir.
(cf. alias, mon texte M. Başaran, "Les injonctions de Jonas", in Gıyabında, Yerineler, Paradigma, 2004, Istanbul)
Une "stronger connection" comme une pointe centrale (hook, "point de caption" chez Lacan) pour fixer un navire en naufrage en mer ne suffirera pas pour vous/ nous sauver. Ce point est textuellement "idôle", et même Jonas, -textuellement- enfermé dans le point central du navir, n'y croyait sauf le rien et l'obscurité pour pouvoir croire à se cacher, sans pouvoir empécher les accusations impies des autres marins contre lui, également naufragés dans le même navir.
(cf. alias, mon texte M. Başaran, "Les injonctions de Jonas", in Gıyabında, Yerineler, Paradigma, 2004, Istanbul)
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(chosis bien la "tonalité" ou déconstruit là ta "GrundStimmung"...
Toi: I'm
really unsure what tone I should read the parenthetical at the end of this
paragraph in but I kind of love it.
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