29.04.2021

Différance: Bir Güç Oyunu…

 

29 Nisan 2021

 

Différance[1]: Bir Güç Oyunu…

(Yapıçözümün bir Yapıçözüm Denemesi)

 

"Biçim, ancak gücü kendi içerisinden anlayacak gücümüz, yani yaratma gücümüz kalmadığında büyüler."

 

| Jacques Derrida

 

Biçim denilen, ve bize öyle gelen şey, aslında içine tam olarak nufûz edemediğimiz, örtük de olmayan, "zamansal", i.e. nerede başlayıp nerede bittiği (sınırları) de tam kestirilemeyen bir “güç oyunu”dur; ve bu oyundan bize ancak "uzamsal" olarak anlık bir görüngüsünü sunduğu için -bir "ikon" gibi- büyüler.

Dahası, saf güç -kendinde ve kendi için- anlaşılamaz, içine nufûz edilemez; bizim "güç oyunu" tâbir ettiğimiz şey de aslında bir "biçim", "güç-biçimi"dir; ve ancak biçim anlaşılabilir (anlayış gücünün altına düşer); bu kapma ve kapılma anı (anlamanın derecelerine göre), yine zamansaldır.

Daha açık tâbirle, biçim her zaman onu yöneten ilkeleri saklı veya örtük tutan zamansal bir gücün göstergesi, tezâhür biçimi olarak "bizim-için"dir; aşkınsal gücümüzün bir göstergesi, etkinliğidir: Doğada (kendinde) biçim "yoktur"; sadece "güç/ zaman" "vardır"; ve onu tam göremeyiz.

Modernler (Leibniz, Kant) "güç"ten (bilinebilir, hissedilebilir olması bakımından) "differansiyel" olarak (komparatif hesap) söz etmesini "bildiler": Aristocu "dunamis" varsayımı "düzeltildi" (farka tâbii kılındı): Biçim, gücün bilinebilirlik nedeni (ratio cognoscendi'si) haline geldi.

Bence, ilk kez Kant'ın "Dinamik Yüce" anlatısında "güç" iki nesnel entite'nin karşılaşmasından belirtik olan "fark" tanımından çıkarak; ben ve güç; ben ve Doğa; Ben (artık doğa ile aynı kumaştan biçilmemiş) ve Fark, haline geldi: Kendinin kendinle farkı olarak, saf Fark olarak güç: Biçim

Şüphesiz bu anlatıyı; Gücün ve Biçimin bir tarihi olduğunu, onun zamansallığının yasaları (diyalektik) olduğunu biz Hegel'den itibaren "bilebilir" hale geldik ("Güç ve Anlayış gücü" anlatısı): Biçimi üreten güç, ve gücü bilinebilir kılan biçim'de yadsıma ('nın yadsıması) serüveni...

Kant gücün bir Kraft (yeti) olduğunu "fark"etti; Hegel bu Kraft'ı (ki artık Geist) devinimi (Tarihsel kinesis) içinde doğru okudu. Ancak Heidegger'le "güç" (dunamis), Doğa (bilimi) ve "Kraft" (epistemoloji) indirgeme-biçim-lerinden çıkılıp Varlık -Güc'ün en eski Yeni adı- ve ondaki fark (varolan) oldu.

Zannımca, Deleuze'ün "Fark ve Yineleme"sinden sonra Derrida bu serüvenin mirasını tek bir kelimede, "différance" (ayıram)'da işaretlemek istedi; aslında Güç ve Biçim Metafiziğinin (çoktan başlamış) yapıçözümünün son evresini sundu: Göstergesi (biçimleri) silinen Fark (Güç) oyunu...



[1] Ayıram.

20.04.2021

De Chôra à la Différance

 

Le 19 Avril 2021

 

De Chôra à la Différance

Grand Crible

« C'était son heure alors, celle du sablier, du grand crible... »

 

*Is the word indifferance here intended as a Derridean play on words? (@the_nust)

Il y a des nuits (comme celle-ci) où toutes les vaches sont (semblent être) grises, mais on sait (aperçoit) qu'elles ne le sont pas en faite. La différance précéderait (toujours) ontologiquement l'indifférance, alors que celle-ci la précède, dit-on, épistémologiquement, comme après-coup.

*Ontological indifference/indifferance - is that a thing?

Certainement pas. Il me semble que la différance est le nom de ce qui précéderait avant tout cette distinction entre l'ontologie et l'épistémologie. Mais en quoi elle n'est pas (ou en deçà de) l'ontologie, est un mystère, que j'essaie d'entamer par Méontologie (lui, par H'antologie).

 

La différance ne peut en tout cas d'avoir un contraire (elle est déjà et d'avance contrarié en elle-même), comme "indifférance". Mais elle est lieu même de toute négation possible, zone d'indifféran.c/t.iation, une mêmeté qui se contredit dans son espacement-temporal; divisionnaire.

*Lovely. Differance as a zone of indifference - now that's something.

Un aveuglement nécessaire, par trop de lumière, ou "masse" indifférenciée (crue), comme le lieu de différentiation (modelée encore -par quelques améliorations rhétoriques-  sur la "Chôra", dont Hegel a su exploitée le principe de sélection, du "grand crible", par la "négation").

 

15.04.2021

HYMNE À HÖLDERLIN

 

le 15 Avril 2021

 

HYMNE À HÖLDERLIN

 

Ce qui demeure, a demeuré et demeurera, c'est "moi" qui le fond, et ce depuis toujours, notre toujours, tout confondu, tous, la terre, le ciel, les eaux et cet air toxique; et l'espace et le temps, aprioriques; forcément historiques, depuis que nous fûmes en séjour un dialogue les uns pour les autres.

Depuis que je suis transcendantalement con-fondu, un universum fondé -bien avant d'être fondé philosophiquement en spéculum de la spéculation- poétiquement en toute facticité de l'histoire de la terre habitée, gagnée de terrain en fictivité de rêves au demeurant et en expansion in virtu.

C'est forcément dans le délire d'un songe, le pire encore, dans les songes d'autrui, comme la loi du genre, gangrenée que nous habitons la terre, rendue habitable par le moi subi et conquérant des horizons encore plus somnambulesque qu'évidence vide de mortalité toujours renaissante, fraiche.

Le divers  (Manifold)  m'a toujours diverti en divertissement diverse des danses nuptiales sur une nappe de souvenir en horizon aussi inatteignable que féroce de Sa sur-venue toujours révélée et éveillée en moi une curiosité encore plus vide de divertissement en culbute et prières.

J'habite chez moi, chez Zweichen (entre-deux) sur un fond abyssal dont je suis tenu obligé de tenir deux côtés sans pouvoir synthétiser en un bricolage de patchwork audible par la présence non-parlant et pas encore entendue par la voix, mais s'est écriée depuis que le vide a horrifié.

 

J'habite la Terre, j'habite la Terre, que mon Dieu c'est horripilant, aie moi de pitié, Toi insouciant, en ton divers distrait et somnambulant dans ton omniscience dont la partie visible et non pas encore audible m'est impartie d'un patchwork dont le tissu m'étire vers deux côtés.

Que Tu m'a laissé fonder le rien du Tout sur un fond de donation où n'est rien donné, seul le vide qui me guide, et Tu grondes de temps en temps en tes mauvais temps, en éclair bleuté du ciel en rouge de sang sur un tissu vivant pendant les matins de fêtes calfeutrées de tes fertilités.

13.04.2021

Prière de Lundi

 

Le 28 Mars 2021

Ma petite prière de Lundi…

 

Allez-vous entraidez entre vous dans le travail élaboré, comme vous allez partager vos joies, et que les jours indifférenciés ne s'écroulent plus les uns sur les autres; ne vous laissez écraser non plus les faibles pour le cumul des riches, l'olive est pour tout le monde, mais amère...

 

Retournons ou ré-initions-nous à la Religion (mot fort, mais ne serait-ce qu'en culture, reste encore à élaborer) des Fleurs (identifiée comme celle de "l'Innocence" par Hegel -Phéno. de l'Esprit)... Certes, je suis sensible aussi à une "religion de Culpabilité", mais sans objet: Schau.

 

Je sais que (mais de quel savoir) il y en a des variantes, comme "Innocence coupable" et "Culpabilité innocente" dont je suis également très sensible. Mais une Innocence sans Acte vaudrait-elle une Culpabilité sans Objet, donnée comme un schème d'affect qui me rugissait le visage, en tendre enfance ?

 

Notre culture (non pas la vraie, mais celle qui sert de couverture, hypocrite suppléance qui rétroagit sur l'origine) est celle de Culpabilité (Mea Culpa dans son superlatif est encore inatteignable, sauf  la littérature, l'art), et une aire d'Innocence y est tolérée, comme interdit, intouchable.

 

On nous est écrit "ne soyez pas l'obstacle les uns aux autres", et "restez dans l'équité et justice", "ne séparez pas vos enfants ni en affecte ni en nourriture, les terres m'appartiennent"; "croissez-les entre vous et multipliez en mes terres, je pourvoirai si vous m'appellerez". Amen.

 

Je vous ai fait sortir du Canal de Suez, vers Terres non bâties, afin que vous vous promenez dans mes jardins suspendus d'Aden, et ils ont dit et non pas cru: « S'Il nous avertissait, c'est qu'Il nous enverra des bêtes sauvages, nous sommes bien en servitude volontaire, et nous avons la brebis ».

12.04.2021

Histoire de Monsieur H

 

La 1ère Avril 2021

 

Histoire de Monsieur H

-un cas a-typique de la Schizo-analyse, appliquée aux Belles-Lettres[1] ...

 

Mon patient pendant sa puberté, claustré dans sa petite chambre, seul, me disait proférer souvent ces mots de sa langue adoptée "haricot vert", sans raison apparente, « inspiré », ayant des difficultés de distinguer un "h aspiré", d'un "muet", hésitant; alors que sa langue natale (Edirne) ne le prononce…

 

Et il m'avait dit en âge mur il a adopté une chatte et l'a baptisé bizarrement "hamsi, car les chats ne répondaient qu'aux consonnes 'psy psy='hmsi". Je l'ai trouvé bizarre. Le vrai Père du pet fût ex-amant, défunt, dont il disait porter deuil, en langue de chat. Et Edirné avait un "h muet"!

 

Mon patient ne connaissait pas suffisamment ni l'histoire de sa ville natale, ses assises, ni l'ancien Grec, mais il sentait une affinité inexplicable avec la "race maudite", dit-il, des "gitanes/ Roms". Et son deuil lui faisait écrire un Roman-fleuve, comme "hantise", et où il se nomma H'anti.

 

Et il connaissait un poème de Mallarmé (dont il disait avoir toujours "hantise"): "La Pénultième est morte": "personne condamnée à porter probablement le deuil de l'inexplicable Pénultième" (« Le Demon de l'Analogie »). De deux choses l'une : soit l'inconscient structuré comme demon de la langue,

 

dont la fond-ation l'obsédait déjà et depuis toujours d'un passé reculé, dont personne n'est témoin; et ce fameux "aricot-vert", dé-couvert une latence en pro-pulsion (pro-tensionnelle), et réagit sur son passé comme roman retentionnel, dont le personnage se nomme Hadrianus, en nanti.

 

Chose faite; défunt mais cadavre n'a pas été retrouvé: deuil non-accompli, obsédé d'un chat. Rapport à la mort de Pénultième rétro-active celle de son nom propre, qui se termine avec "h aspiré", que personne ne peut prononcer en-exil: Nostalgie de sa ville natale l'obsédant, prépare Mort.

 

On apprend de ses propres aveux, un autre "h aspiré" de sa famille suicida, l'inspire, dont il porte en soi "le deuil anagrammatique de son nom propre, finissant avec h maudit", dit-il. Cure a été accompli par son roman fameux, et s'est anéanti -non suicida- en lettres-mortes; en santé.

 

Et il s'est retourné à son natale, à Andropoli, parmi les siens, où il a trouva un certain H, avec lequel il a vécu et a eu deux garçons et une fillette; qu'il les nomma Moi, Toi, H'oi; cure par son courage triplement accompli: mal prononça en Cura (Lt.) Sorge (All.): "zor-gaï".

 

 Conclusion théorique : Psychanalyste  doit être très avisé des choses et des mots, [car avant l'orage, avant le déluge ou la grande crise du transfère, cette fameuse scène], l'oreille doit être aiguisée, par pratique assidue dans ses assises; les mots et les choses, univoque ou équivoque en psyché, auront d'autres corrélations.

 



[1] A l’occasion d’un envoi de Tarık Cemre: “Freud, “…ilginçtir. Hiç kimse dil sürçmesi yapmaktan hoşlanmaz ve başkalarının sürçmelerini kaçırmazken, çoğu kez kendi sürçmelerimizi duymayız.” diyor. Bundan daha ilginci ise analiz esnasında yaptığınız sürçmeyi yarıda kesip “Haydaaaaa” demeniz.”

Le philosophe en dormant...

 

Le 31 Mars 2010

 

Avez-vous déjà vu un philosophe en dormant ?

 

Et si la poésie qui est à la fois génératrice des schèmes, configuratrice, elle-même, était-elle l’hypotypos d'une autre chose, ombre d'érotisme, quoiqu'effacée ou suffocante, libératrice et en chaines visibles ou invisibles, provoquant l'oreille d'une semence cachée et indolore?

 

[Bence en güvenli ticaret ve işret, Şiir modelidir; hypotypos'u belirsiz olsa, az sermaye ile başlansa da, getirisi gütürüsü birbirini eşitlediği zamanlarda bile her zaman en sağlam meta ve her ulusun para birimine geçirimsiz, çevirisiz, kısır, tam bir döl israfı olarak erotizmi  geçer.]

 

Mais comment fonder une république en trois ou en quatre selon la cadence et schèmes constituantes et constituées de la poésie en amour, aux lisières de l'amitié? Certes, envie retournant les choses en iniquité, hostile ou hospitalière de demeure en voyage qui cherche ses ancrages.

 

Si le malheur est, ce serait de savoir d'avance (comme une connaissance a priori) les schèmes de l'amour et de l'amitié; ce serait un malheur totale et chagrin insurmontable pour un philosophe de s'y trouver mêlé en pèle-mél de l'un ou d'autre, pire tous ensemble: Fuis-là! Dit la Déesse.

 

"Aveugles-moi d'avance si je te trahirais!", murmurait-il l'un tandis que l'autre s'écriait déjà, un autre pleurait, l'autre priaient, et le philosophe dormait tranquillement dans ses sages profondeurs, sans s'aspirer au plus haut dans la connaissance amère des choses qui fondent le monde.

 

Le philosophe avait la conscience tranquille de connaissance des causes des choses, mais pas toujours des instances instables et surtout insatiable; il disait d'avoir donné à chacun/e une demeure dans ses pensées, comme à ses rejetons: que vous en réjouissez-vous en paix et en chagrin!

 

Et avez-vous déjà vu un philosophe en dormant; et si vous l'aviez vu en cet état[1], n'aviez pas eu de peur de ce petit soupçon de penser qu'il avait un corps ici, bel et bien dans vos proches, même à côté, et l'autre partie plus subtile, son âme, où se promenait-elle dans le lointaine?

 



[1] Nietzsche: Zaradoustra; “De l’ami”.

Traité sur Mimesis

 

le 3 avril 2021

 

Traité sur Mimesis

(L'avenir triste d'une illusion qui aura trop duré).

 

 

Je suis une machine à écrire tremblante, parce que j'ai des nerfs...

"Les matins, je suis un sage profonde; au midi, je suis ouvert, sociable et serviable; le soir, je suis triste; pendant la nuit, je suis juste un scélérat non-converti; au petit matin, j'ai des corvées, et ainsi de suite..."  

         [Cercles: Les Confessions d'un Külhân Beyi]

 

Mimesis originaire dans sa supplémentarité est un jeu de miroir, par essence, intersubjectif, même quand l'entité-sujet divisible tout de seul, s'expérimente en et dans autrui, ses limites, soit schème soit plastique et évoluable, se tend à se dissoudre dans ses ab-négations constitutives.

 

Dissolution du moi semble un effet secondaire qui tombe là-dessus, et semble se contredire avec la finalité apparente du mimesis qui serait la persévérance dans son être, alors que cet être en imitant dans ses algorithmes autrui, lui vole en éclat les principes, ce pourquoi le mimesis fut.

 

Ce qui se gagne dans ce jeu de perdant-perdant, c'est ce gaine supplémentaire qui est dans l'impuissance de se savoir, comme un éclat grandiose qui s'ex-pose dans son ex-plosion, qui en diminuant dans leurs êtres, dissipe les deux côtés de la même chose, une ab-négation qui les préserve.

 

Une extraordinaire bévue en fait qui s'appellerait "amour" en langue humaine, s'avère être autre chose en langue divine ou en celle de nature: Une mésentente, une mésinterprétation, un mal-vu, mal-entendu, une illusion est dans l'origine constitutive du mimesis, qu'on peut dire "Idée".

 

Et dans langue emblématique, c'est la mort du Narcisse "en nous"; ce qui provoque et subit cette extraordinaire ex-position du Soi en/comme ou par Autrui qui tombe là-dessus, alors qu'il n'est seulement qu'un reflet, tristesse, deuil et ex-plosion du soi en éclat, dans l'apparaître.

 

La sœur de Narcisse, Alethéia, la Vérité, celle voilée ne se dévoile jamais d'un seul coup, elle se voile encore, dans ses éclats, soutenant ce fameux jeu, son terrain fertile, privilégiée, préférée. Elle est évoquante et provocante une série de Vieder-Holungen, à couper le souffle.

 

Hélas d'hier et Heureux d'aujourd'hui, ces deux "h", sont interchangeables dans leur Viederholungen successive; un certain "hold-up" les préside et guide en secret, dans leurs joies et tristesses. Car le champs de bataille, peuplé des minuscules parasitaires qui fournissent des bémols.

 

Dans ce jeu appelé Flamenco, si quelqu’un en langue divine ose à dé-schématiser la scène dans ses minuscules détails et en impartialité du Tiers, c'est faisable, je le fais; mais il est strictement interdit de se mêler aux affaires humaines, d'un divin, et de s'y participer au jeu de reflets.

 

Mais il est également strictement interdit à l'homme de rester seulement l'homme. Il est une catégorie intermédiaire et passager entre le Mimesis animal et Mimesis divin, en son éclat éphémère; il lui est donné d'être à la fois l'homme et imiter le divin; et c'est la suspension, Syncope de 2 H.

 

Et c'est pourquoi, en langage cabalistique, il faut dire:

"Hélas, je suis heureux aujourd'hui, demain j'aurais surement un malheur; mon heure est mon malheur, ôtez-moi ce surplus d'heure qui me reste, pour me préserver mieux ma vie en malheur et en joie, Amen." [Rabbi Schabbathi]

 

Fin de "Traité sur Mimesis", intitulé "Je suis amoureux de toi, et je ne t'aime plus" en Flamenco et selon Cabala... (L'avenir triste d'une illusion qui aura trop duré). Par Database/Ran.