3.12.2024

La peinture et le Temps - Cinéma pure-2




Titre complet: 
Cinématographié en épave du naufragé du Siècle 

Ch.1- 
Lecture-1 : « Qu’on s’entente en consent(e/i)ment des dieux » -"Bezeugung" grecque 

Lecture-2 : « Au festin des dieux par heure… » 

Lecture-3 : « Un Golem de Dieu par son imposition » 

* « Balance divine » 

Ch.2- Une petite causerie sur la peinture encore 

Lecture-4 : « Bifurcations irréconciliables » 

Ch.3 - "Theatrum philosophicum" dans le festin à canard laqué



 (*) Cela s’oblige que ça soit dit (de mille façon détournée ou en « recta » de rectitude requise ou de « notre probité »), ce film est conçu, au départ pour récompenser l’omission faite de notre part (dans l’énumération ) des « idées théologiques » de Kant (l’oubli accouru dans l’espace et le temps d’un enregistrement, était déjà corrigé par l’écriture, en sous-titrage), qui lui-même « biffe » (et non pas bafoue) pour en supprimer tout contenu ontique (dans sa première volume), et « le » ré-incarner à la fin d’une manière désincarnée, comme « Dieu (seulement) moral » dans la deuxième volume de ces critiques (cryptiques).

 Là, il me semble qu’une mise-en-abyme, entre lui et moi, dans le miroir ou l’écran (le lac ou le lacet) de nos ouvres dissymétriquement respectives, s’ouvre, et qui ne me paraît pas insigne, en ce qui concerne sur (ou au-dessus de la marche, dans notre « entrelacement ») un problème aussi crucial qu’abyssal : à savoir (va-t-on savoir jamais?) le divin ou « das heilig ».

Cette récompense est donc conçue, à ma foi, non pas d’un seul bloque d’enregistrement sonore, de recta ou facial, mais espacé dans le temps (d’une série d’appréhensions, qui vont sans problème, étant toutes finies mais illimitées) en segment fragmentaire, par un étrillage et montage entre une série de lecture de textes, écrits récemment, passablement fictifs et philosophiques.


Database/Ran 22.11.2024 / 03.12.2024

 Philosophie à l'école buissonnière

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