6.11.2024

Lettre à Byrkan

 



Lettre à Byrkan, le 6 Novembre 2024



Ce ne fut donc qu’entre nous deux ces chairs à chaîne en lingams sévissaient, ô ma chère malfaisance illettrée

Ce n’est donc entre nous deux ou trois choses inconnues que se varieront en éidéticité les commandes de la terre.

Et ce, depuis une épuisante différée incalculable, sans pourtant trop à se référer en gouffre de Sahara et de Macchabée en acajou.

Et c’est donc de ce dont la tristesse est malsaine en son malaise mal à l’aise que t’arrivera les mystères,

Ou d’un robuste macadam depuis Mathusalem, dévastée et dévastatrice,

Ou bien juste d’un buste de vestiaire à chic et à choque en pantoufle de Molière famillionnaire en hâte à huit-clos.



Que saurais-je ? D’où saurais-je ? De qui saurais-je ?



Et ne me demanderas-tu donc pas dès lors l’ordonnancé en vestibule de bestiaire en frac s’est amélioré ou pas depuis…

Tant si peu que s'y oscille encore un Vivant parmi et hormis nous en Araméen de couche sombre aux aîtres à qui devons-nous ce chagrin ?

À son sommeillé, à ses démêlés, à ses malgré ou à ses bons grées sous-jacentes sous ses bizarres lentilles en vers…

Là, à moins qu’une estampe de plus ne soit estompée et ne se réfère plus d’un supérieur, tant que ne soit crevé de fadaises un bidasse en bahut…

*

Chéhar yéq; débouclé en trop d’harmonie en décalcomanie domestiquée à géométrie variable ou stable au sein de cette race de sociabilité insociable,

Soit, mais non moins qu’indissociablement soit assimilable à nos catégories bien connues en asymptotique… Encore queue…




Database/Ran

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