5.05.2021

Genèse de l’œil sans esprit

 

Genèse de l’œil sans esprit

 

Au départ du départ reparti à tout le monde selon équité et iniquité, Je n'avait qu'une bonne distance imperceptible entre le corps de son être de corporéité et sa simple vue dépourvue d'esprit;pris ou surpris par cette distance par l'événement-monde qui apparaissait dans son apparaître.

Je n'ai plus de Gegenstand ni d'entourage, je ne suis rien de moins "hanté par le monde", Je ne permet pas qu'ils/ elles, le premier venu insigne me transperce la vue et me capte ma captivité en cavité, je lui bloque l’entier-té de monde et je le dissèque par pure curiosité adamantine.

Je est impassible au vu d'esprit, obscurci en plein lumière, fermé au clair-obscure des profondeurs, pourfendu à la vue binoculaire, sémantiqué par les pré-catégoriaux actes de besogne en aspergé d'un faisceau de lumen calculable par l'angle sur le cercle d’ubiquité arrondi esplace.

Je n'ai rien demandé à Dieu plus qu'il soit démontré au plus vite devant ou auprès de ses troupeaux, selon ses besognes en argile, et qui soit modelé sur mes exigences les plus simples d’icône en plastique, aie courage de soi et quel qu'il soit, qu'il se montre en fissure carnivore.

J'ai usé sans m'apercevoir des talismans et carni-dévoré quelques lugubres dieux en état de naissance, et par la symbiose de sa naissance dont la mise-en-scène hyper-endure la persévérance de mes nerfs, il suffoquait d'une peine perdue à l'aisance de la constellation stellaire en chute.

S'il n'a plus de firmament, c'est la faute à qui que Kant non lu; s'il a eu encore une étoile et ses animaux à bipède, binoculaires de face et capables de ne plus voir les profondeurs de pourfendre, et aucun monument d'invagination de suffocation abyssale, quelle heure sonnerait-elle?

Par la vertu de ne pouvoir voir l'autre côté des choses, ni la successivité temporelle, réfractaire à l'espacement en permanence, n'ayant d'autre vue qu'en survole pour se feindre dans la cavité de caverne, suspendu aux houleuses vagues alléchantes, j'ai mes courbes en fourbes cuites.

Que chacun se trouve-là, disséqué par la surface qu'on nomme chair, et bien cuite, se distille une autre apparence, certes, prolongement de vue tactile en dispositif, action passive à distance, paix? Je m'en doute et régresse dans la genèse; Dieux s'incarne en nous par virale pré-séance.

Par quelle immonde pitié la science servile dans son plus profonde impensé, toujours insouciante et jurée (sans injuriée) à ne comprendre rien de rien; un moindre d'être explore le temps et l'espace, indûment caricaturié de soi, heureuses technicités de passe-temps dépourvues d'elle.

Pauvre populas, riche en envergure et en étendue; et de réaction timide -forcément en distance-, riche de blé envoyé aux lugubres compost-elles, en pérégrination outre-nationales, suspendu à son mimétisme de ressemblance, déduite par la filialité niée, en horde émancipé d'auto-horripilé.

 

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