6.07.2012

"DES PROCEDES" (VERSİON POSTMODERNE)

TOPIQUE: DES PROCEDES






IL Y A ENCORE TANT DE "PROCEDES" DONT NOUS MANQUONS LE MOT

(comme si le mot "procédé" n'est pas un mot générique qui engloberait tous les procédés, et comme s'il y aurait des "procédés" qui n'entreraient -ou ne tomberaient pas comme exemple particulière sous le concept ou dans le mot "procédé")

ET LA LİTTERATURE SANS LA PHİLOSOPHIE EN ABONDE, TANDİS QUE LA PHİLOSOPHIE AVEC LA LITTERATURE (ECRITURE) EN PROMET ENCORE LES NOUVEAUX.



A QUI ALORS SONT-ILS DESTINES,

ET EN QUEL SENS?

Quel est leur "publique" et leur "res" (ou leur topos), leur "quid" et leur "quod", leur "spectateur" ou leur "destinataire", qui nous permetrait de les nommer, par un nom pour un nom: un mot pour un mot, par un déplacement léger du sens, si je puis dire?)



DE QUI A QUI ET DE QUOI A QUI ET DE QUI A QUOI?

(Y A-T-IL, OU ENCORE EST-ELLE CONCEVABLE UNE DESTINATION DES PROCEDES (comme quatrième figure qui traverse et engloble les trois autres)

-ET CE EN DEUX SENS-

DE QUOI A QUOI?



ET CE SANS QUİ

ou SANS PAR QUI

et SANS POUR QUI

(sans pouvoir être en véritable en soi non plus)

c'est-à-dire véritablement

SANS POURQUOI



cest-à-dire, sans TELOS, ni THEOS

de la TELEOLOGIE ou de THEOLOGIE (ou même de Théiologie)

ni même d’une ESCHATOLOGIE (et sans espoir, sans messie?):



ET CE Sİ CE N'EST PAS IMPOSSIBLE,

C'EST ENCORE (jusqu’à quel avenir?) INCONCEVABLE:



POSSIBLE EN TANT QUE POSSIBLE



LOIN D'ETRE UNE POSSIBILITE RELLE (si c’est concevable),

et ce ne serait-ce que POUR



PENSER ETRE ET AUTRE,

PENSER L'AUTRE DE L'ETRE

POUR PENSER AUTREMENT ETRE

POUR ETRE OU HABITER AUTREMENT QU'ETRE (Lévinas)



HABITER, RECEVOIR SANS MEME CONCEVOIR,

S'HABITUER A AUTREMENT QU'ETRE:



AUTREFOIS LE NOM MEME DE PHILOSOPHER: (“apprendre –s’habituer, se préparer à mourrir”)



DONNER ET RECEVOIR

DES PROCEDES

non pas procédés seulement LOGIQUES

mais ‘YOLLAR’

surtout

YORDAMLAR....)



VOILA L'ENIGME DONT NOUS NOUS OCCUPERONS COMME DE NOTRE SOUCI (PEİNE/ PAİN) QUODITIEN, EN GUISE D'UNE REPONSE A UNE QUESTION JAMAIS (véritablement dans son fondement) POSEE:



"Y -A-IL UN 'PROGRES'

(-Peut-on rabattre la question de 'procédé' sur celle de 'progrès'?

-Peut-on penser 'WORK IN PROGRESS' –par exemple J.JOYCE- hormis schème ou concept de 'progrès' -DONC HORMIS KANT-;

-Peut-on penser les “procédés” hormis 'ousia', 'dunamis' et son 'energeia', son ACHÈVEMENT en 'ergon'-donc HORMIS ARISTOTE-;

-Ne peut-on ne pas les penser même pas sous les “procédés” certes intéressants, comme ceux de 'plissement et de 'déplissement' –donc HORMIS LEIBNIZ-)



DANS-ET-PAR LES ARTS ET LES LETTRES ?

–donc HORMIS ROUSSEAU-



VOICI POUR UNE PREMIERE EBAUCHE DE REPONSE, L'UNE DES PLUS VIEILLES:

(voir d'abord "Pseudo-Aristote dixit", page suivant de ce blog;
Mais encore l'article plus ancien: "Behçet Necatigil'in Şiirlerinde 'çizgi' tematiği", in Gıyabında, Yerineler;
et le plus récent: "Grundriss, Riss, ausriss... traîre le traît...", dans ce blog 2016)

5.07.2012

Pseudo-Aristote dixit

IL Y A ENCORE TANT DE PROCEDES DONT NOUS MANQUONS LE MOT, ET LA LİTTERATURE SANS LA PHİLOSOPHIE EN ABONDE, TANDİS QUE LA PHİLOSOPHIE AVEC LA LITTERATURE (ECRITURE) EN PROMET ENCORE LES NOUVEAUX.  A QUI ALORS SONT-ILS DESTINES, ET EN QUEL SENS? DE QUİ A QUİ ET DE QUOI A QUI ET DE QUI A QUOI? VOILA L'ENIGME DONT NOUS NOUS OCCUPERONS COMME  DE NOTRE SOUCI QUODITIEN, EN GUISE D'UNE REPONSE A UNE QUESTION JAMAIS POSEE: Y -A-IL UN PROGRES DANS LES ARTS ET LES LETTRES?  VOICI POUR UNE PREMIERE EBAUCHE DE REPONSE, L'UNE DES PLUS VIEILLES:

À nAMİ BAŞER

Topique: Aristote




(Dialogue apocryphe et hupocrypte)





*Quand pensons et rêvons-nous?
**C'est peut-être quand l'autre ou l'ami(e) ne sait pas -ou n'est pas en fait de- ce que je suis ou ce que je mé/fais de moi.
*Être-Faire-Méfaire: Comment décider?
**Dans l'étage à moi (Geist à tous les étages!) -et c'est ça le Monade- il n'y a que des procédés, des lignes de fuite.

** (Je voulais dire avec les mots qui ne sont pas à moi) Et si, avant la Matière (hulè) et la Vie (bios et zoé, agglomérée, composée), il n'y avait que des procédés -eidétiques-,des Lignes (et non contoures de telles ou telles Formes) de Forces toujours plus vieilles et fortes que Moi...

*Avant la Matière, il n'y a pas de Temps ni Force, mais ils sont EnMêmeTemps (Ama, Sum): Or Dieu (Non Creator Ni PanCreator) n'a ni Forme (Eidos) ni Force (pas de Dynamus): Pure.
**D'où la virginité...qui nous manque!

**Dieu qui n'a pas de Force n'est pas une Ligne de Fuite pour lui-même, pour moi Sa Saintété (ou selon certains sa virginité -loin de nous ces images eikastiques) Si.

 *Elle est Pure Effectivité (j'en conviens 'Cause Efficiente' Sans Cause -ni active ni passive) mais immobile et Sans Fin (je veux dire sans commencement et sans achèvement).

**Vous parlez comme Platon parlait de Khôra: Indéméléable Néant!

*On a oublié de parler des humains et de leurs décisions dans les étages au-dessous: et de leurs rêves et de leurs pensées.

**C'est qu'ils sont dans leurs Lignes de Fuite, ils sont inachévés: et même quand il y a quelque chose d'un peu achevé, ils les rédétruissent avec leurs méfaits...

*C'est qu'ils obéissent peut-être à quelque chose qui a déjà commencé et qu'ils pensent et rêvent à leurs insus...