Comment (ne pas)
soustraire cet excédent qui n’est que notre seul capitale?
Contenu:
Ch.1- Salutations
envoyées à M. Hans Jurgen Siberberg : « un film étendu »…
Ch.2- Littérature dans
ses sens généraux (déterritorialisé) et restreints (réterritorialisé) : l’exemple
de « Ministre d’esclavagisme »(roman d’Esircibaşı) de Reşat Ekrem Koçu
Ch.3- Cet excédent que
je dois refouler dans les secousses d'Anamnesis
Ch.4- Redressement et
la soi-disant « Refondation » du signifié-vide transcendantale
Ch.5- Comment fonctionne
ce champ transcendantal comme « ailleurs-ici-bas» de notre esprit encore trop européen :
déplacement latérale (métonymique) des « idées –dites- rationnelles »
ou insolubles de Kant dans « Trois Essais sur le Nom » de Derrida, et
l’exemple d’« Esthétique Taoïste » par Henri Michaux et François Julien
Ch.6- Note pour
l'infaillibilité dans les sciences « historiques » et la Papauté en « histrion »
*L’évolution de ma série
de dessins "Au Chevet" -19.12.2024
Une lecture comparative et une interprétation picturale de « La
Réalisation théâtrale » dans « l’Histoire de la Folie » (1972) de M.
Foucault avec l’"Ouverture à la Surface Libidinale ; Tournoiement de
la barre" dans « l'Économie Libidinale » (1974) de J.-F. Lyotard
et d’ « Un seul ou plusieurs loups »dans « Mille Plateaux » (1980) de Deleuze
& Guattari, dans la perspective de nos investigations phénoménologiques des
rapports de chair et pensée.
Ch.1- Dépliage du tableau
triptyque « Au Chevet »- Voyage de Marcion à Sinope, « Migration
des Archontes » – de l’empathie à la
psychagogie –« La Réalisation théâtrale » dans l’Histoire de
la Folie » de M. Foucault
Ch.2- « Je suis peut-être
l'homme le mieux compris sur cette terre »
Ch.3- « Transfère »
du délire au « corps soignant » par la « Réalisation
théâtrale » (ni seul être ni seule apparence : « rusé et astuces
savantes où esse est percipi »)
–le désir dans « le Jardin de Délices» -« Droit d’asile »
et asylum -la levée de l’obligation du travail
Lecture-1 : « Qu’on s’entente en consent(e/i)ment des dieux » -"Bezeugung" grecque
Lecture-2 : « Au festin des dieux par heure… »
Lecture-3 : « Un Golem de Dieu par son imposition »
* « Balance divine »
Ch.2- Une petite causerie sur la peinture encore
Lecture-4 : « Bifurcations irréconciliables »
Ch.3 - "Theatrum philosophicum" dans le festin à canard laqué
(*) Cela s’oblige que ça soit dit (de mille façon détournée
ou en « recta » de rectitude requise ou de « notre probité »),
ce film est conçu, au départ pour récompenser l’omission faite de notre part
(dans l’énumération ) des « idées théologiques » de Kant (l’oubli accouru
dans l’espace et le temps d’un enregistrement, était déjà corrigé par l’écriture,
en sous-titrage), qui lui-même « biffe » (et non pas bafoue) pour en supprimer
tout contenu ontique (dans sa première volume), et « le » ré-incarner
à la fin d’une manière désincarnée, comme « Dieu (seulement) moral »
dans la deuxième volume de ces critiques (cryptiques).
Là, il me semble
qu’une mise-en-abyme, entre lui et moi, dans le miroir ou l’écran (le lac ou le
lacet) de nos ouvres dissymétriquement respectives, s’ouvre, et qui ne me paraît
pas insigne, en ce qui concerne sur (ou au-dessus de la marche, dans notre « entrelacement »)
un problème aussi crucial qu’abyssal : à savoir (va-t-on savoir jamais?)
le divin ou « das heilig ».
Cette récompense est donc conçue, à ma foi, non pas d’un
seul bloque d’enregistrement sonore, de recta ou facial, mais espacé dans le temps
(d’une série d’appréhensions, qui vont sans problème, étant toutes finies mais illimitées)
en segment fragmentaire, par un étrillage et montage entre une série de lecture
de textes, écrits récemment, passablement fictifs et philosophiques.
Quand l’historien devient l’artiste et produit un "faux document"* :
Édit
d’Art
1-Tout
Art ne respectant pas les règles d’engagement ci-dessous dictées doit y être
honni et banni.
2-L’art
n’est pas un domaine assuré et rassurant (cf. Juris Prudence des Disputionem en
Cours d’Assis).
3-Avant
nous la Société était malade et c’était incurable ; la race des artistes
constitue la classe la plus démunie et la plus inférieure de notre société en
bon rétablissement.
4-L’artiste
soit qu’il attriste soit qu’il mène à la gaîté, est nuisible pour l’ordre
établi et le bien commun.
5-L’apparente
harmonie qui se trouvé dans les œuvres artistiques nuits la société et menace l'ordre établit par la force de consentement obtenu et par la force méconnue
des prestidigitateurs que sont les artistes.
6-Le
sexe faible, les femmes et les enfants devraient être tenus éloignés de toute influence néfaste des
fabulations l’art.
7-L’art
doit être mené à un métier d’appellation contrôlée, en service d’ornement au
palais en belle éloquence, et tout manquement à ceci est sous peine d’être chassé
de la Cité.
8-Seul
l’homme libre ou en veuvage est libre
d’acquérir un objet d’art destiné à un culte de divinités de sa maison et pour ses
dépendants en vive, les odalisques et ses progénitures, sous le toit de sa domiciliation,
sauf la classe de clergé.
9-Le
droit à la propriété privée et à la jouissance des domaines plaisants sans y être
invité est banni et aux juifs rescapés et à toute race d’artistes dans nos sociétés.
(*) Texte fictif à l’usagepédagogique
*
Titre complet:
Par
Notre Probité…Voilà
ce que nous comprenons du
"Cinéma Pure"
1.
partie: Nos exigences d'écritures non-atténuantes et non
atténuées
2.
Partie : Quand l’historien devient l’artiste et produit un "faux
document" : « Édit d’Art » (à 45mn :15)