Lecture-1 : « Qu’on s’entente en consent(e/i)ment des dieux » -"Bezeugung" grecque
Lecture-2 : « Au festin des dieux par heure… »
Lecture-3 : « Un Golem de Dieu par son imposition »
* « Balance divine »
Ch.2- Une petite causerie sur la peinture encore
Lecture-4 : « Bifurcations irréconciliables »
Ch.3 - "Theatrum philosophicum" dans le festin à canard laqué
(*) Cela s’oblige que ça soit dit (de mille façon détournée
ou en « recta » de rectitude requise ou de « notre probité »),
ce film est conçu, au départ pour récompenser l’omission faite de notre part
(dans l’énumération ) des « idées théologiques » de Kant (l’oubli accouru
dans l’espace et le temps d’un enregistrement, était déjà corrigé par l’écriture,
en sous-titrage), qui lui-même « biffe » (et non pas bafoue) pour en supprimer
tout contenu ontique (dans sa première volume), et « le » ré-incarner
à la fin d’une manière désincarnée, comme « Dieu (seulement) moral »
dans la deuxième volume de ces critiques (cryptiques).
Là, il me semble
qu’une mise-en-abyme, entre lui et moi, dans le miroir ou l’écran (le lac ou le
lacet) de nos ouvres dissymétriquement respectives, s’ouvre, et qui ne me paraît
pas insigne, en ce qui concerne sur (ou au-dessus de la marche, dans notre « entrelacement »)
un problème aussi crucial qu’abyssal : à savoir (va-t-on savoir jamais?)
le divin ou « das heilig ».
Cette récompense est donc conçue, à ma foi, non pas d’un
seul bloque d’enregistrement sonore, de recta ou facial, mais espacé dans le temps
(d’une série d’appréhensions, qui vont sans problème, étant toutes finies mais illimitées)
en segment fragmentaire, par un étrillage et montage entre une série de lecture
de textes, écrits récemment, passablement fictifs et philosophiques.
Quand l’historien devient l’artiste et produit un "faux document"* :
Édit
d’Art
1-Tout
Art ne respectant pas les règles d’engagement ci-dessous dictées doit y être
honni et banni.
2-L’art
n’est pas un domaine assuré et rassurant (cf. Juris Prudence des Disputionem en
Cours d’Assis).
3-Avant
nous la Société était malade et c’était incurable ; la race des artistes
constitue la classe la plus démunie et la plus inférieure de notre société en
bon rétablissement.
4-L’artiste
soit qu’il attriste soit qu’il mène à la gaîté, est nuisible pour l’ordre
établi et le bien commun.
5-L’apparente
harmonie qui se trouvé dans les œuvres artistiques nuits la société et menace l'ordre établit par la force de consentement obtenu et par la force méconnue
des prestidigitateurs que sont les artistes.
6-Le
sexe faible, les femmes et les enfants devraient être tenus éloignés de toute influence néfaste des
fabulations l’art.
7-L’art
doit être mené à un métier d’appellation contrôlée, en service d’ornement au
palais en belle éloquence, et tout manquement à ceci est sous peine d’être chassé
de la Cité.
8-Seul
l’homme libre ou en veuvage est libre
d’acquérir un objet d’art destiné à un culte de divinités de sa maison et pour ses
dépendants en vive, les odalisques et ses progénitures, sous le toit de sa domiciliation,
sauf la classe de clergé.
9-Le
droit à la propriété privée et à la jouissance des domaines plaisants sans y être
invité est banni et aux juifs rescapés et à toute race d’artistes dans nos sociétés.
(*) Texte fictif à l’usagepédagogique
*
Titre complet:
Par
Notre Probité…Voilà
ce que nous comprenons du
"Cinéma Pure"
1.
partie: Nos exigences d'écritures non-atténuantes et non
atténuées
2.
Partie : Quand l’historien devient l’artiste et produit un "faux
document" : « Édit d’Art » (à 45mn :15)
-Analyse phénoménologique d'un tableau d'Orhan Oğuz
Table des Matières:
1. Tableau - Jeu des Signes Surcodables à l'Aube du Capitalisme, comme « nappe »
2. Tableau –L’auto-présentation du peintre lui-même : le peintre ne parle pas, ne montre pas, mais seulement indique. « Une salle de restaurant vide ». Le peintre représente LA représentation
3. Tableau -Témoigner sans dévoiler en peinture. « Topos » du laboureur
Métaphore: "eğretileme" en turque
4. Tableau -Orhan Oğuz indique par craie et ne dévoile l’intrigue (le « dehors » du tableau –le complot, la fornication, la trahison, le crime fondateur, l’amour interdit, le cabinet noir, obscure, etc., peu importe)
5. Tableau -Détails s’y reprennent la « Scène initiale » dont le Reflet sur la vitre constitue le véritable tableau comme absent : « Illustre peintre Orhan Oğuz »
6. Tableau -Surenchère de vente : « Martyr »
*Denoël / Danyal peygamber
7. Tableau -Lecture du texte : « Et ainsi soient-ils vos regrets… »
L'explicitation plus juste du "ceci" même qui indique le même ceci comme différant
*
Tous les
phénoménologues de
tous les pays! Êtes-vous
prêts pour une explicitation
plus juste de la
déduction des catégories par le "plein"
et le "vide" du « ceci » même dans
la présomption d’évidence du même
« ceci » dans les extases temporales
de l'acte d'intuitionner dont le
noyau indicatif vous ferait
signe à son tour comme
un lieu-tenant de s'y
approprier les corrélats de « ceux-ci » en leurs
propres? "Das
Gleich"
* Ch.1-
Une Lecture du roman d’Alphonse Daudet selon "la théorie de musique" qui
s'y trouve
Ch.2-
La Définition du domaine de Recherches illogiques comme bassesse: Non-idéalité
de l'objet littéraire
Ch.3 –
Dé-plumage d'un corbeau très ami par éthique de profession : Philos-opfer –
Opferung
Ch.4 –
Ceci du tiers : Signe en acte chez Hegel pour la Déduction
Ch.5 –
Quand Sigle-Tiers fait défaut, nous tombons plus bas que l’animal : Wahnsinn
-Folie
De l'écran à l'écrin
1-Prétextes - légendes -toiles – paravents pour peindre
2- La surface des choses -l'épiderme -le vêtement –seconde nature –Nasréddin Khodja –Nuit platonicienne et kantienne –Ahriman
3- Histoire et historiettes du monde
Databasé/Ran
Philosophie à l'école buissonnière